Hans Bosch : Sugar Overdose

Hans Bosch

Démons et merveilles

identité ;;Hans Bosch. Il y a longtemps, très, très longtemps, tu portais un nom d’une consonance plus dure, plus sèche. Plus rustique. Plus vieillotte. Kulba-Walba. Cofgodas. Kobold. Comme le bois que coupait votre père à l’automne jadis, avec ses lames ancestrales, mal aiguisées encore, aux ores de la Forêt Noire. Mais c'est flou, ça te semble être une éternité, dèjà. Tu as changé plusieurs fois de noms depuis. Ça doit être le système. Ça fait tout oublier, le CPS. On finit par tout oublier quand on n’est pas plus haut que trois pommes et qu’on fabule des trucs qui ne font ni queue ni tête à des intervenants sociaux épuisés qui ne savent plus quoi faire de vous. Alors les adultes remplissent les vides. Sur le papier, c’est marqué John Alan Wood. Un nom bâtard, ordinaire, que tu exècres aujourd’hui. C’est la première chose que tu as fait, en sortant de détox : te donner un vrai nom d’artiste, qui faisait résonner au moins un petit quelque chose, en toi. Même si ton accent, bien new-yorkais détonne et que tu ne te souviens même plus d'un foutu mot d'allemand. Est-ce que ça a vraiment amélioré ta vie ? Pas vraiment.
âge ;; 33 ans conte ;;Allez Hansel, parle-nous de ces hivers trop blancs et trop longs qui vous faisait bouffer un seul rat presque cru pour quatre personnes comme d’autres savourent des festins onctueux. Parles-nous du goût du cuir des ceintures t des souliers et de la faim qui tenaille sans fin. Parles-nous de cette terreur au creux du ventre, lorsque tu as entendu ta propre mère demander à ton père de choisir, entre ta sœur et toi. Parle-nous de ton amour pour elle, brisé et trahi. Parle-nous du coeur tout chaud et gorgé de sang qu'elle t'a donné et qu'elle espérait sacrifier, pour survivre jusqu'au printemps. Dis-nous comment ton père n’a pas su faire son choix et vous a laissés, tous les deux toi et ta soeur, en pâtée pour les loups, à défaut de vous briser la nuque et de vous désosser comme du gibier. Décris-nous l'ombre terrifiante des arbres qui ressemblaient à des ogres noirs, tout autour de vous. Parle-nous de ce froid qui se glissait, sous ta chemise. Du corps glacé de celle que tu chérissais, plus que tout au monde contre toi et que tu n'arrivais plus à réchauffer. Parles-nous de ces cailloux aussi blanc sous la lune que la poudre que tu te mets dans le nez, et dans le coude, maintenant. Et parles-nous encore de cette putain d’maison faite de pain d’épices et de sucre qui fait encore dilater tes pupilles et saliver, comme un con. C'est du sucre. Juste du putain de sucre. De cette vieille bonne femme à moitié aveugle qui aurait très bien pu être une surveillante de dortoir, tellement t’es à l’ouest dans tes souvenirs. Allez. On t’écoute d’une oreille, toi et tes histoires de junkies. origine(s) ;;Tu as la vague intuition de venir du Nord de l’Allemagne mais tu pourrais très bien venir de France ou même du nord de l’Angleterre, qui sait. Tu pourrais même venir de Hell’s Kitchen, tout bêtement ou du Bronx. Ton histoire est celle du silence, de la terreur et de la faim. De tous les mômes, sacrifiés pour les besoins divers des adultes depuis l’âge de bronze pour soi-disant faire fleurir le printemps et donner des enfants plus forts que toi. À une certaine époque, on t’aurait même appelé un Kobold. Un de ces esprits d’enfants, enfermés dans le noir, sacrifiés jadis pour que leur esprit protège un foyer et emmène prospérité.métier ;; Tu dis à qui veut bien l’entendre que tu es un acteur. Mais la vérité est bien plus triste. Combien de joints avais-tu fumé, avant tes auditions ? Et ces lignes que tu te faisais, juste pour poser le pied sur scène. Tu as eu quelques rôles de figurant. Tu es surtout guide touristique, pour une compagnie de ghost tours. Après tout, prétendre des conneries d’os enterrés pour t’en sortir vivant, c’est ton truc. orientation sexuelle ;; Homosexuel. Dixit La Belle au bois dormant. Toi, tu as toujours kiffé le Prince Charmant. Et le Rossignol. statut civil ;; Il y a eu cet homme, dans tes années de perdition. Le plus beau des chants, la plus belle des musiques. Vous étiez défoncés tous les deux. Depuis, il n’y a plus grand chose. Que des corps anonymes, des trucs sans goût et beaucoup de sucre. statut monétaire ;; On ne peut pas dire que le loyer est payé joyau sur l’ongle à tous les premiers du mois. On ne peut pas dire non plus que tu ne fais pas un peu attendre tes colocataires, pour la facture d’électricité. On ne peut pas dire que tu manges toujours tes trois repas par jour. Okay, okay… tu ne les mangerais pas, de toute façon. Ni que c’est pas encore ta sœur qui te sort du pétrin. Mais tu survis, tu ne t’en sors pas trop mal.traits de caractère ;;Impulsif : Lorsque tu as une idée en tête, tu ne réfléchis pas beaucoup aux conséquences de ses actes. Ces décisions prises sur un coup de tête t'ont parfois servies mais la plupart du temps t'ont causé davantage d'ennuis. Le départ à Los Angeles sans soutien ni argent, pour percer au cinéma en a été une. Et ta retour pour percer à Broadway, sans références en a été une autre.
Bohème et distrait : Tu passes plus de temps à rêvasser qu'à poser des actions concrètes pour t'en sortir. Oubliez le boulot de 9 à 5. Ce n'est pas pour toi. Tu te lèves à pas d'heure et te couche à l'aube. Tu n'as jamais eu le sens pratique des choses, combien de fois ta soeur te l'a t-elle répété? Tu oublies constamment tes clefs, ton portefeuille et tu te retrouves sans cesse à attendre devant ta porte que tes colocs t'ouvrent. Tu pourrais même oublier le chemin pour te rendre chez toi, si on ne te connaissait pas si bien. L'argent est dépensé très, très vite et tu détestes faire du ménage. Tu vis au jour le jour, en pensant rarement au lendemain.

Rêveur : Tu es un grand rêveur qui croit en l'être humain et à la bonté inhérente des gens. Tu as fait confiance beaucoup trop facilement et ça t'a apporté la poisse. Tu as aussi cette tendance à la pensée magique. Que les choses vont se régler toutes seules d'elles-mêmes. Qu'un grand destin t'attend. Tu as déjà cru dur comme fer aux contes de fées. Ça au moins, c'est révolu.

Cultivé : Tu es un passionné de lecture et de théâtre depuis ta tendre enfance. Tu as une excellente mémoire et tu es capable de citer bon nombre d'oeuvres. Comme tous les guides touristiques de New York, tu connait bien l'histoire de la ville. On te dit bon comédien, sans être excellent, mais ton côté trop naïf, trop émotif et ta dépendance aux drogues dures t'a raflé la plupart des bonnes occasions.

Romantique et Hypersensible : Tu as déjà cru en l'amour avec un grand A. Tu l'a déjà connu, l'amour. Oh oui, tu l'as connu. Entre ton corps que tu vendais et ces mains qui te tripotais, tu l'as connu, ton Rossignol. Comme beaucoup de garçons homosexuels, tu as longtemps confondu amour et sexe, ayant pris certains risques et ayant fait des pratiques assez hardcore pour oublier ton ancien amant.

Un peu mythomane : Est-ce une déformation professionnelle? Tu as tendance à exagérer un peu sur les détails. Tu prétends toujours avoir 28 ans et ta soeur vient à peine de comprendre que tu n'as jamais eu ce job au Majestic Theater. De petits mensonges, tout innocents pour couvrir un peu ton désespoir. Rien de bien méchant.

Empathique et excentrique : Tu débordes d'imagination. Tu te mets aisément dans la peau des autres. Tu as beau être bordélique et un peu menteur, tu es à l'écoute des gens. Ce n'est pas toi qui va les juger, hein?
Tu n'as jamais eu honte de ton orientation sexuelle. Enfin, pas vraiment. Il y a eu des périodes plus difficile que d'autres, surtout après le départ de ton Rossignol. Mais tu l'embrasses avec toute la passion du monde et tu te contre-fout de paraître trop délicat ou trop efféminé. Ça ne plait pas à tout le monde et ça t'a valu quelques rejets bien cinglants. Mais tant pis.maintheme ;; Hans Bosch - playlist moodboard ;; facultatif, si tu ne veux pas en mettre, supprime. groupe ;; Merveilles

capacités ;; Ah ça, si tu as bien un don, c'est celle de te mettre dans le pétrin. T'es incapable de te contrôler, pas vrai, Jan? Quatre détox, quatre. Et tu arpentes encore les ruelles en quête d'un peu de sucre. Juste encore un peu de sucre. Esprit du foyer Ton coloc vient de gagner 2000$ à la loterie. Ta coloc s'est enfin trouvé un boulot, après trois à devoir faire de la webcam pour bouffer. Il y a six mois, lorsque tu as emménagé, le voisin du dessus a laisser sa baignoire couler. Ça a inondé et moisi tous les appartements d'à côté, sauf le vôtre. Et la semaine dernière, le type d'à côté à laissé son poêle ouvert. Les ambulanciers en reviennent pas encore que vous soyez toujours vivants, vous. Ils ne comprennent pas et toi non plus. Mais que tes colocs viennent pas te faire chier à mettre ta vaisselle sale dans ton lit... Tu les aimes bien mais il ne faut pas exagérer. Toi aussi, tu es capable de laisser le rond de la cuisinière à gaz ouvert. Comment voit-il sa nouvelle vie?;; Tu clignes les yeux et tu fais la grimace, avant d'éclater de rire. On t'a expliqué encore et encore que tout ce que t'imagines être arrivé ne sont que les divagations d'un enfant malade et affamé. TROIS ANS?! Et c'est toi, le supposé junkie?! Tu te souviens vaguement d'être arrivé ici enfant, sur un oiseau blanc. Sur Un Boeing 747, il faut vous faire un dessin? Tu es arrivé à New York tu avais sept ans. Tu as 33, maintenant, faites vos maths, bordel.

Le livre et sa couverture

pseudo/prénom/pronom ;; Chiendelespace. Il/Lui âge ;; On ne demande pas à une vieille dame son âge, tous genre et sexe confondus.comment as-tu découvert usd ? ;; Sur une pub discord quelque chose à nous dire ? ;; Attendez, je remonte sur ma chaise et je me recoiffe avatar ;; Ben Whishaw crédit(s) ;; Chiendelespace

L'enfant éternel

tw : Abandon, Abus, Violence, drogue, prostitution, sexe et troubles alimentaires

And the people went into their hide, they oh
From the start they didn't know exactly why, why
Winter came and made it so all look alike, look alike
Underneath the grass would grow, aiming at the sky

It was swift, it was just, another wave of a miracle
But no one, nothing at all would go for the kill
If they called one very soul in the land on the move
Only then would they know a blessing in disguise
Agnes Obel - The Curse

Agnes Obel - The Curse:

Les petits cailloux blancs.
Tu te frottes le nez et contemples, une fois de plus, cette constellation de cristaux blancs, sur la surface de la table de chevet. Ce serait presque joli, comme ça, sous la lumière de la lune. Presque joli, oui.

Ta vieille carte bancaire fait le reste. Une ligne scintillante sur les méandres sinueux et sombres du bois. Peut-être ce soir retrouveras-tu enfin ton chemin, Hans.

Le chemin de ta véritable identité.

La forêt Noire.
Les ombres s’allongent dans la pénombre, comme de grands arbres, leurs branches s’élevant bien haut au-dessus de ton monde. Elles tourbillonnent, dans la fumée de l’air, contre tes joues couvertes de suie et de graisse animale, contre la l’épaisse peau de daim tendue qui protège ton corps du froid. Tout est noir autour de toi. Si noir. Même ces visages flous qui passent devant tes grands yeux aveugles de n’avoir jamais vu de lumière. Tu n’as pas de nom, encore. Tu n’es que toi. Juste toi. Tu entends leurs rires, tu entends leurs chants. Leurs supplications. Leurs pleurs. Tu leur réponds du gargouillement invisible de tes lèvres cousues. Tu leur réponds, dans ta prison de cuir. Et puis tu sens une main chaude prendre la tienne. Vers la lumière, vers ces ombres qui t’acclament.
Vers cette chaleur humaine que tu espérais tant.

Tu pousses un hoquet. Un hoquet de surprise. Tu ne comprends pas. Pourquoi ce métal glacé, en toi?
On se partagera ta chair et ton sang chaud coulera sur la terre morte
et tu nous redonneras le printemps.

Va, enfant béni. Va, enfant maudit. Va, enfant éternel.
Protèges les chaumières.
Protèges-nous des démons de la Forêt Noire. Protèges-nous de la Famine.
Protèges-nous de nous-mêmes, surtout.*

Maman a faim.
C’est ce que dit Papa, en vous donnant chacun un morceau de ceinture bouilli à mâcher. Tu mâches, tu mâches et tu mâches. Ça n’a plus de goût. Et ça n’enlève plus le mal de ventre depuis longtemps. Est-ce que Maman aussi a mal au ventre? Il est si gros. Comme si elle avait mangé le chat. Il est où, le chat? On ne l’a pas vu depuis des semaines. Tu traînes des pieds alors que ta petite soeur gambade pour rattraper votre père qui est loin devant. Tu traînes et tu t’amuses avec les cailloux. Le bucheron s’impatiente. Et lorsque que la hache de ton père s’élève au-dessus de vos têtes, tu ne comprends pas davantage.

Cours Hansel. Cours Gretel. Courrez entre les arbres de la Forêt Noire. Parfois la faim rend les mères folles et les pères un peu cons.

Ouais, ok. Moi aussi, j’aime bien le pain d’épices, mon chéri. Mais où ils sont, tes parents, bordel?
La dame du DSS ne regarde pas Gretel. Comme si elle n’existait pas. Ou pas vraiment. Juste toi. Juste toi, cramponné à cette barre de chocolat fondue qu’une vieille passante t’a donné des heures plus tôt. Quelqu’un a essayé de te l’enlever, pour nettoyer tes mains collantes, tu lui as presque bouffé le petit doigt.

Maman a tout avalé.
Tout t’aveugle. Cette chambre d’hôpital est bien trop lumineuse, pour toi. Bien trop aseptisée. Tu refuses de manger. On a dû te mettre au soluté. Même les sons de la circulation, dehors, sont étouffés. La travailleuse sociale s’assoit avec précautions sur le bord du lit et passe la main dans ta tignasse et te donne un morceau de chocolat, dans un emballage doré. Tu viens du Vermont, tu sais où c’est? Tu te rappelles maintenant? Non? C’est normal, ça reviendra. On ne sait pas comment tu t’en ai tiré, mon petit, ni comment t’as pu te retrouver tout seul au beau milieu d’Hell’s Kitchen, comme ça. Mais ton papa, ta maman et ta petite sœur Megan ne reviendront plus. Maman a allumé la cuisinière à gaz, pris le grand couteau à découper et a décidé d’emmener tout le monde avec elle au ciel, tu comprends? On va bien s’occuper de toi, John, promis.

Johnny boy.
Les cailloux blancs se dessoudent lentement dans la cuiller, sous la flamme du briquet. Tu t’es piégé toi-même, ce coup-ci, John et même Gretel ne peut plus faire grand-chose pour toi. La vieille sorcière de tes cauchemars a laissé sa place à ces clients voraces de Los Angeles qui eux aiment bien ta maigre carcasse de junkie.

Le métal de l’aiguille s’enfonce dans la chair tendre de ton bras. Avec le temps, tu t’es découvert d’autres appétits. Celui de la musique et des chants. Celui du théâtre, celui des mots.

Celui de la peau, celui de l’amour bien rude des hommes. Et celui du sucre qui fond dans les veines.

Ne me laisse pas m'en aller seul dans les bois.
Tu tapotes ton mégot et la cendre tombe sur l’asphalte. Tes lèvres tremblent et la clope ne masque plus cette douleur, au ventre. Gretel te manque. Tu lèves la tête pour regarder ces grands buildings noirs qui te cachent le ciel. Ils t’angoissent. Tout t’angoisse. Tu grelottes, tu as froid. Tu te grattes, jusqu’au sang. Il avait dit qu’il reviendrait. Il revient toujours. Mais que fait-il, bordel? Que fait ton beau Rossignol?

Sister.
Les doigts au fond de la gorge, tu te plie une nouvelle fois au dessus de la cuvette pour régurgiter ce qu’il te reste, au fond de l’estomac. Non mais qu’est-ce qui t’as pris, ce coup-ci? Qu’est-ce qui t’a pris de t’empiffrer, comme ça? Depuis ton overdose et depuis ta dernière détox, tout y passe. Le gras, les frites, les bonbons et le chocolat. Tu boufferais même du beurre à la petite cuiller, parfois. Tout pour faire taire cette douleur, dans ta poitrine. Tu n’arrives pas à t’arrêter. C’est comme une transe. Comme si tu n’aurais plus rien à manger demain. Et puis la terreur prend le dessus. Tu ne peux pas prendre de poids, tu comprends? Tu comprends?

Tu te laisses glisser sur le plancher et attrape le chat pour le serrer fort dans tes bras. Ça ne peut plus durer. Pas comme ça. Ça va finir par te tuer, de ne plus savoir ce qui est réel ou pas. Tu essuies la bile qui te macule le menton et l’écran de ton téléphone éclaire un instant tes joues barbouillées. Tu devrais peut-être lui envoyer un texto. Il est 3h du matin mais ça ne fait rien. Elle aussi sait ce que c’est, d’être bouffé petit à petit par les histoires d’adultes. Mais elle est plus forte que toi, elle.

Tu poses l’appareil contre ton oreille et ferme les yeux en inspirant bien fort. Tu vas réveiller sa petite.

Marguerite va te tuer.

*Ce bout-ci est très fortement inspiré d'un passage d'American Gods de Neil Gaiman. Le livre.

Dernière édition par Hans Bosch le Lun 1 Fév - 9:36, édité 11 fois

JE !!! NE SAIS PAS POURQUOI !!! mais ton titre me rappelle cette chanson alors que ça n'a aucun rapport sauf la clope.

https://www.youtube.com/watch?v=4TV_128Fz2g

non mais ce début de fiche ??? PIS J'SAIS MÊME PAS QUOI RAJOUTER DE PLUS PARCE QUE G TOUT DIT EN ZI. rohlala c'est quoi cette perfection à en devenir, qui suis-je moi maintenant, pis tkt tu te relève quand tu veux j'te file même le peigne pour recoiffer ta chevelure d'ébène absolument exquise. bienvenue parmi nous du coup et bonne chance pour ta fiche !! hésite pas à contacter ma comparse @gerald twele ou moi-même si besoin.

Ooooooh!!!!!!! Mais je pensais être le seul à connaître cette chanson!!! The cigarette Duet!!! ( Je l'adore!)

Mais c'est plutôt celle-là, le titre :
Rufus Wainwright - Cigarettes and Chocolate Milk
Mais tellement merci pour cet acceuil enthousiaste!!!! J'avais peur qu'Hansel et Gretel soit un conte trop ennuyeux!!! J'espère que ca plaira quand meme!

Oh mais ! Olala ! Je l'ai dévoré ce début de fiche ! J'adore, j'adhère ! :mih:

J'ai toujours bien aimé Hansel et Gretel en plus, c'est nice de voir quelqu'un de ce conte débarquer ! Il promet ton p'tit monsieur, vraiment ! :aw:

Bienvenue parmi nous ! :tancrede:

Tellement génial cette composition fc et perso !
J’adhère si fort !
Bienvenue à toi !
:dog:

Ohhhh!!!! Mais c’est gentil à vous deux!!! Je vais essayer de finir cette fiche bientot!!

Edit : j’ai changé le prénom pour Hans, histoire de ne pas chercher midi à quatorze heure...

Ooh Hansel :koeur:

j'aime beaucoup sa capacité, ça a l'air super, mais alors super utile ! J'veux un lien avec mon canasson c'est obligéééé :drame:

Bienvenue par ici en tout cas !

J'ai lu un peu ta fiche et ce sera avec plaisir!!!!

Trop bon choix de conte, je viendrai te faire coucou pour un lien :love:

Bienvenue !

Ohhhhhh!!!! J'ai lu la fiche de Chip! Je l'adore!!!!! Oui, je viendrai te voir!

coucou.
alors je suis au regret de t'annoncer que, pour le moment, je ne vais pas pouvoir valider ta fiche. en effet, j'ai peur qu'il y ait pas mal de choses à modifier ou alors soit je n'ai pas bien compris, si c'est le cas, il faudra clarifier je m'en excuse. le problème principal réside au coeur de ta fiche puisqu'il y a des propos incohérents par rapport à la situation des fables et de manière globale j'ai peur que tu aies confondu ce que nous avons mis en place (donc des fables éjecté des royaumes il y a trois ans) avec une réécriture des contes façon moderne. j'ose citer quelques passages du coup, pour mettre en avant ce que j'explique.

- La dame du DSS ne regarde pas Gretel. Comme si elle n’existait pas. Ou pas vraiment. Juste toi. Juste toi, cramponné à cette barre de chocolat fondue qu’une vieille passante t’a donné des heures plus tôt. Quelqu’un a essayé de te l’enlever, pour nettoyer tes mains collantes, tu lui as presque bouffé le petit doigt.

- Tu viens du Vermont, tu sais où c’est? Tu te rappelles maintenant? Non? C’est normal, ça reviendra. On ne sait pas comment tu t’en ai tiré, mon petit, ni comment t’as pu te retrouver tout seul au beau milieu d’Hell’s Kitchen, comme ça.

- Tu es arrivé à New York tu avais sept ans.

tout ces faits sont impossibles, hansel n'a pas pu grandir parmi les communs, il a grandit au sein des royaumes et s'est retrouvé, comme les autres, à hell's kitchen il y a trois ans, tu parles d'années de perdition, etc. alors je pense qu'il y a eu souci de compréhension en matière d'adaptation/d'incarnation de personnage, si nos annexes n'ont pas été assez claires je m'en excuse platement. il te faudra donc tout modifier pour qu'hansel soit raccord avec ce que nous avons écrit !

bon courage pour les modifications du coup et n'hésite pas si besoin, on est à ta disposition s'il y'a des zones ombragées.

Je te rassure, j’avais bien lu que les fables etaient à Hell’s Kitchen depuis trois ans :)

C’est, je crois, mon concept qui n’est peut-être pas hyper clair. Je voulais faire une fable qui avait perdu une part d’elle-meme dans son arrivée à Hell’s Kitchen et qui avait rempli les vides avec des souvenirs parasites et artificiels. (Le fait qu’il se souvient d’une dame qui lui explique qu’il vient du Vermont alors que lui se souvient d’une foret ancestrale germanique, par exemple ) Mais effectivement, ce n’est archi pas clair, de la manière dont je l’ai ecrit. Si tu as des idées pour moi, je suis preneur. Je reflechirai.

Bienvenue !

Très belle fiche, gros cœur sur la référence à Neil Gaiman :mims:

et puis ce FC (Bellamyyy :ouin:

)

Pour clarifier ta fiche tu pourrais peut-être décrire un peu plus son arrivée à Hell's Kitchen après l'exil, ce qui a déclenché sa divagation, sa séparation avec Gretel, et son séjour prolongé à l'hôpital où il a commencé à s'inventer des souvenirs pour que ça colle ? (et pourquoi la dame croit qu'il vient du Vermont alors qu'il a sans doute pas bougé de New York, à moins qu'il ait un peu voyagé ?)

Voilà j'espère que ça t'aidera un peu :love:

Bon courage pour la réécriture !

C’est effectivement une excellente idée!!!! Et je te remercie pour tes mots, c’est très apprécié!
Je vais laisser cette fiche de coté pour quelques jours, le temps de reflechir et de regarder mes options. J’avoue etre un peu découragé, surtout que oui, j’avais bien lu les annexes et que je comprenais bien que la fable etait à Hell’s Kitchen depuis 3 ans (dans la zone où on demande comment le perso vit sa nouvelle vie, je mentionne bien le trois ans ;) c’est juste que le perso a perdu son identité et navigue entre des souvenirs inventés et des souvenirs qui semblent irréels pour le monde moderne ). Donc, je laisse ca de côté et je reflechis comment arranger ca!

aucun problème, prends le temps qu'il te faut.

Hello!!!! Après mûre réflexion, je vais, pour l'instant, vous quitter. Je suis déjà à deux autres endroits, dont un où je suis admin et ça grandit, tranquillement pas vite, je vais donc mettre mon énergie là-dessus. Cela dit, ça faisait des ANNÉES que je voulais jouer sur un forum axé sur les contes de fées, dans une atmosphère EXACTEMENT comme la vôtre alors c'est sûr que je vais repasser refaire un perso, un de ces quatre ( Non, vous ne vous êtes pas débarrassé de moi! ). Votre design est magnifique et vous avez de belles plumes. Ne lâchez pas!

oh c'est gentil tout ça. écoute ma foi, je te souhaite une très bonne continuation à toi et à un de ces quatre alors !!