a dustland fairytale.

Pan Windsor

démons et merveilles

identité ;; mégalomanie pailletée du prénom énoncé encore et encore dans la bouche de toutes ces personnes qui n'peuvent vivre sans lui. peter, peter, peter. interpellations à droite et à gauche incessantes, torse bombé de l'égo gonflé à la place de la réaction normalité fatiguée que d'être constamment quémandé. banalité du blason, peter comme un autre, abandonné pour sa singularité narcissique. pan promu de nom à prénom, mélodie de flûte hypnotique à l'entente de cette simple syllabe. vent doré tumultueux, windsor choper au hasard, attraction de cette âme aux nuances aristocratiques. âge ;; illusion angélique de cette trogne juvénile aux traits translucides inexistants. abstraction temporelle, dix-neuf ans tapant de ces années arrêtées à tout jamais. le garçon qui n'voulait pas grandir. immaturité dans une vielle âme. conte ;; enjolivé, détourné pour glorifier ce conte sombre qui n’a rien de doré. beauté illusionnée, admiration qui devrait être détestation. peter pan protagoniste, aux allures antagonistes, de sa propre histoire. l’plaisir fantasmagorique du pays du jamais, irréalité saugrenue d’un cocon confort morbide. cette biographie susurrée, à la nuitée tombée, dans les oreilles des enfants, sans réaliser la prophétie fatale enchanteresse dans laquelle s’enferment les bambins souhaiteurs d’un même non avenir. métier ;; aura d’mort tout autour de lui, évanescence de son propre halo. charon angélique doucereux, magnétisme obscur des macchabés. blondeur étincelante comme contraste déstabilisant de la lueur de l’existence. fossoyeur de la vie en couleurs, présence morbide sans s’occuper de ces âmes éperdues qui ont besoin de lui. jardinier des cimetières, à rendre beau un vivant éternellement mortel sans conscience. verdure arc-en-ciel entre ces pierres grises glaciales. entretien détourné d’âmes qu’il a lui-même parfois précipitées. orientation sexuelle ;; allégorie volante aux gouttelettes évaporées de narcisse, jeune homme aux hormones en ébullition depuis l’éternité. liberté excessive, imprévisibilité du spectre de la sexualité, projection de lui-même et son propre amour dans son attraction pour autrui. tantôt femme, tantôt homme, tantôt non-binaire. aucune exigence restrictive du genre, ni même de la personne. chasse mégalomaniaque de son égo qui cherche seulement à être bercé de louanges. baisers sensuels égoïstes. statut civil ;; gamin des merveilles, adulation étoilée dans les prunelles de ceux qui le regardent comme s’il représentait cupidon. faux fils d’aphrodite qui n’a pourtant aucune conscience de ce qu’est l’amour. toxicité romantique, possessivité malsaine à écarter les côtes pour plonger sa main et retirer les cœurs sanguinolents pour qu’ils n’appartiennent qu’à lui dans des jars sombres. célibataire qui n’pense qu’à lui, qui n’voit que lui. obsession morbide de sa personne à en oublier l’amour des autres. confusion appartenance et amour, dans une souffrance latente ignorée à lui en foutre la nausée. statut monétaire ;; opulence immatérielle, esprit céleste supérieur à la lourdeur des pièces d’or. impudicité fantasmagorique s’ennobli du capitalisme asservissant. maître du jeu qui fait fi des règles, même dans cette réalité qui n’est pas sienne, modulation des limites à son image. poche trouée, mais la richesse dans sa pauvreté. le non besoin de consommation, de possession matérielle. lui, il aspire le temps des âmes. mésaise officielle illusoire, belle gueule et belles paroles qui obtiennent ce qu’il veut, l’argent d’un claquement de doigts. traits de caractère ;; ange juvénile de la mort, rayon de soleil froid, joie inaccessible, passion glaciale, lumière luminescence lactescente, sourire denté fantomatique, charme sans effort hypnotique, l’angélisme d’un diablotin, égocentrisme exacerbé aveuglant, égoïsme d’un vide d’amour, cruauté infantile, vices pailletés, regard céleste, promesses grandiloquentes d’attraper la lune pour tomber dans les étoiles encore et encore, noirceur nocturne fascinante, immaturité mise sur un piédestal, enfant adulé par autrui et par soi-même, intelligence excentrique, fêtard intemporel, sexe narcissique, séduction manipulatrice, sensualité prisonnière, funambule de l’horizon flou de la vie et la mort, colère capricieuse, impression trompeuse de liberté, possessivité maladive, toxicité du myocarde, rejet du temps et de l’adulte, noctambule poétique, mélodie harmonieuse hors du rythme, témérité bagarreuse, légèreté rock’n’roll, brume palpable, charisme éclatant que l’on va envie de suivre jusqu’au bout du monde, imprévisibilité indigne de confiance, douces caresses sanguinolentes, baisers de la provocation, rêve déroutant, troublemaker, hyperactivité des conneries, obsession rieuse morbide. maintheme ;; peter pan (clique). moodboard ;; pan windsor (clique). groupe ;; mensonge effronté d’une merveille angélique cauchemardesque.

capacités ;; légèreté d’une agilité enfantine presque anormale. les bonds majestueux de toit en toit comme si à chaque pas il risque de s’envoler et s’évader de cette réalité grisâtre. petit corps musclé qui semble peser autant qu’une plume et dont les règles de la gravité ne s’appliquent pas. bel ange qui a perdu ses ailes, lesquelles n’ont laissé aucune cicatrice comme si tout était un rêve éphémère. peter volait plus haut que les oiseaux, pan ne le peut plus, donne simplement l’illusion qu’il le fait. vélocité aux tons magiques, capacité pourtant bien réelle de bondir comme la fumée, disparaître comme une ombre, se tordre comme un maître d’yoga. force juvénile manquante dans ses nombreuses bagarres dangereuses compensée par cette dextérité si peter panesque. ses mouvements qui dégagent une liberté, ne s'est pas encore avoué la perte de son talent anti-gravité.
constat sur sa nouvelle vie ;; frustration silencieuse explose chaotiquement à des moments hasardeux en colère froide et sourdre. mal être inavoué, confort agréable mais illusoire du déni. petit homme capable de s’adapter partout où qu’il aille, attraction et séduction de son charisme qui ne le laisse jamais s’fondre dans la masse, blondeur des cheveux comme couronne subtile d’or, et le monde à ses pieds – qu’il croit. passer d’un maître de jeu qui tire les ficelles de tous ces personnages pantins qui sont siens, à un gamin à l’allure mortelle commune, son égocentrisme en prend un coup à lui enserrer douloureusement les intestins dans des nœuds irrésolus. la tête à l’envers derrière le rideau en soie, déréalisation puérile que de ne pas palper de ses phalanges la réalité dans laquelle il est depuis trois ans. savoir que ce n’est plus le monde imaginaire, que sa création est devenu le monde de jamais, mais ne pas percevoir clairement la différence. funambule glauque du joyeux luron qui se défait avec rage de l’imprévisibilité du non contrôle du jeu de la vie qui ne lui appartient plus.

le livre et sa couverture

pseudo/prénom/pronom ;; djesus getnaked. swann. ol, accordé au masculin ou à l'inclusif. il et iel aussi acceptés. âge ;; la réalisation du quart d'siècle, pression sociable toxique qui ronge les intestins. let me be, please. comment as-tu découvert usd ? ;; thks @rory barks pour la pub sur l'discord des rpgistes. quelque chose à nous dire ? ;; ajhsajhsahj ON EN PARLE DE COMMENT C'EST BEAU PAR ICI PTN ?? avatar ;; lucas lyngaard tønnesen. crédit(s) ;; hoodwink, chrysalis, vocivus.

lost boy from neverland.

teardrop.
(tw mort, infanticide)

tiédeur du derme étranger mais familier entre ses propres phalanges, sa paume chaude tient la main de cet enfant qui l’a accompagné dans la plupart de ses aventures depuis bien des années maintenant. sauf que les rires se sont tus, il n’y a que le silence du ciel noir étoilé qui l’accompagne. le gamin ne s’égaiera plus. ce ne sont pas deux enfants qui gambadent dans les airs main dans la main, c’est peter qui traîne un cadavre derrière lui.
temps passé, lassitude de cette juvénilité effritée. grâce de peter que de l’avoir tué avant de se laisser embarquer avec asservissement dans les tourments de l’adolescence.
empathie assez – vraiment ? – que de le ramener auprès de sa mère. peter n’a juste pas envie de s’encombrer de corps morts qui rendraient tristes de nostalgie les autres enfants perdus. il ne les comprend pas. ils sont ingrats. il leur amène les plus belles aventures, et ils arriveraient encore à avoir de la peine pour une chose aussi futile. tout l’monde meurt – sauf lui, évidemment. c’est un fait, pas une tristesse.

les affiches wanted, vieilles comme des ruines de même pas une décennie dans tout l’quartier avec la trogne bien plus jeune du bambin qui flâne sans vie par sa suite, postées par des parents désespérés qui n’ont peut-être pas abandonner l’idée de le retrouver un jour. mais ça, peter ne le comprend pas non plus.
descente maligne féline, la dépouille grisâtre de plus en plus fraîche à la mesure linéaire des minutes passées déposée devant la porte poussiéreuse et rouillée dans les jointures. peter n’prend pas la peine de toquer, s’envole s’poser sur un toit sombre avec la meilleure vue, la tête dans les mains à attendre avec une impatience bien masquée.
porte qui s’ouvre, scène macabre de désespoir à briser n’importe quel cœur – pas celui de peter. la mère s’effondre en pleurs sur l’corps de son fils qu’elle reconnaît instantanément malgré les années fanées. elle pleure, elle est triste ? froncement des sourcils qui creuse son front sous l’incompréhension de ce que ses yeux témoignent. pourquoi est-elle triste ? il a disparu depuis tant de temps, elle devrait être passée à autre chose. ce n’est pas pour elle qu’il l’a ramené ici. ça l’énerve. ce n’est pas comme ça que ça devait se passer. comment ça devait s’passer ? l’gamin dans l’constant contrôle de l’imprévisibilité ne le sait pas. il repense aux barreaux de son lit et de la présence étrangère quand lui est parti, sa propre mère l’ayant oublié. non, elle n’devrait pas être triste.

la colère grogne dans son cœur, et il n’prend pas plus l’temps de regarder ce qu’il s’passe sous lui, décidant qu’il n’en a pas grand chose à foutre, alors que toute sa vie – tout ce qu’il y a d’intéressant – se trouve au pays imaginaire, gelé attendant son grand retour. envol ombragé dans l’atmosphère nocturne vers sa bonne étoile, ramenant le soleil et la chaleur avec lui.

sweet dreams.
(tw drogues, sexe, déréalisation, suicide)

obscurité néon à foutre la pire des crises au premier pauvre épileptique. pauvres lumières dégueulasses à niquer les rétines, trop faibles pour éclairer véritablement la scène ambiante mais assez phosphorescentes pour mettre en avant la crasse addictive de la décadence.

l’alcool dans l’gosier à lui en brûler la trachée, putain qu’est-ce que c’est bon. mieux que le plaisir physique qu’est entrain de lui procurer la belle assise sur ses genoux à se déhancher pour rechercher une certaine friction. pan profite, parce que si clochette était – encore – collée à lui, elle aurait tué, ou du moins torturé, cette dandine. il profite depuis qu’il s’est fait balancer à hell’s kitchen avec tous les fables – ou il s’force à profiter. il n’a aucun plaisir de cette femme qui gémit toute seule, tous les autres autour n’en ayant rien à foutre ou souhaitant jalousement être à sa place sur ses cuisses. son corps sait qu’il doit prendre du plaisir, alors il réagit. mais son cerveau ne reçoit pas les informations d’endorphine. l’esprit en dehors du corps, exaspéré par cet ennui.
pas bien différent de tous ces jeunes qui s’inhibent les sens d’éthanol et de pilules pour oublier les responsabilités prochaines de la vie d’adulte, et pourtant bien étrange à tous. pan qui n’vole plus mais au dessus de la plèbe.
il n’ressent que l’ennui et la douleur, cette dernière s’transformant en plaisir – putain d’cerveau. c’est pour ça que la brûlure de l’alcool et meilleur que le fessier parfait sur sa bite qu’à moitié dure.
pff. grognement d’ennui, l’ancien gosse la pousse sans douceur avant d’se casser.

- pan, pan, pan, pan […] pan, pan, pan !! »

son blase appelé encore et encore sans la moindre fatigue, par elle, par eux, pas tous. plaisir de l’égo renouvelé, ‘y a d’ces choses qui n’changent pas. pas son monde, mais son monde quand même, partout où il va. la gueule d’ange qui fascine alors que l’âme noire s’faire ressentir et attire.

la brise nocturne sur son visage naturellement blanc, les cheveux bouclés qui s’envolent au rythme du vent alors que lui-même ne peut pas s’élever dans les airs.
‘y a quelques pauvres âmes perdues ici aussi, mais la fraicheur lui permet de respirer. parmi toutes ces ombres sans intérêt qu’il n’voit même pas, ‘y a cette aura plus distante qui attrape instantanément son attention. parce qu’il y a un truc qui n’va pas, halo noire autour de ce vivant anthropomorphe jonché tout près du précipice. léchage de babine quant à cette obscurité qui le magnétise et l’myocarde qui reprend l’droit de ses battements dans sa poitrine.

- qu’est-ce qu’tu fais ? » accent anglais, choix d’identité quand il a atterri l’cul dans cette poussière de réalité dégueulasse. l’côté aristocratique lui sied si bien.

la gueule désespérée et pourtant si sereine se tourne vers lui.

- t’as jamais la sensation d’être claustrophobique du monde et de la vie ? qu’aucun des deux a assez à nous offrir, et que tout n’sera jamais que souffrance. »

haussement de sourcil et rictus en coin discret mais pas invisible.
il n’faut même pas une demie seconde à pan pour comprendre que l’gars est arraché avec il n’sait trop quelle drogue. pourtant, son discours il l’connaît que trop bien et sait exactement quoi faire, quoi dire. la fatalité du temps, la connerie de devoir devenir adulte.

- t’as qu’à sauter. »

les mots sont dits avec un calme déterminé à foutre les pires sueurs froides au plus grand gaillard de pierre et de glace. si l’gars perché du haut de sa falaise de bâtiment est choqué d’ses paroles, il ne le montre pas. pan boit la bouteille de rhum comme il siroterait son thé devant un bon bouquin, regardant passivement l’pauvre mec contempler la ligne de la vie et de la mort qui s’dresse devant lui. l’jeune du jamais n’a aucun doute sur s’il va la franchir, et il n’attend pas bien longtemps avant qu’il fasse son pas en avant, dans l’vide.

fuckboy.
(tw sang, relation toxique)

pas l’un devant l’autre.
pas léger et enjoué.
pas dansant, sans l’besoin d’une vraie musicalité qui l’suit.

pas un, pas deux, pas trois, pas infini.

démarche féline juvénile, s’approche pourtant d’un cimetière. morbide de fait, aura véritable de maison pour l’myocarde en émoi du gamin cruauté.
les clefs rouillés d’son royaume aux barres sombres tordues, la porte s’ouvre avec révérence sur son passage léger mais d’une prestance marquante.
les tombes s’dressent devant lui, comme si la mort l’saluait comme un vieil ami.

ses pas s’arrêtent sur la sépulture souhaitée. l’nom gravé dans la pierre pour toujours, contraste dégueulasse hilarant avec la mort qui n’est elle pas éternelle. l’nom inconnu de c’gamin qui a sauté devant ses yeux, c’gamin qui devait être plus jeune que son apparence corporelle actuelle – il n’sait pas trop il est censé avoir quel âge.
pan jette un seau d’eau sur la tombe, comme pour lui souhaiter la bienvenue au pays imaginaire, que l’maitre des lieux est sûr qu’il a atteint – soupir de jalousie –, mais aussi pour arroser ses plantes bien aimées.

regard qui s’assombrit lorsqu’il voit qu’elles ont été piétinées et abimées alors qu’il a passé des nuits d’amour – c’qu’il s’rapproche le plus de l’amour – à les chérir pour les voir grandir et s’épanouir.
la colère monte au fond d’ses tripes, fait exploser son mal être dissimulé durant toutes ses années qu’il foule de ses pieds la terre de hell’s kitchen.
blancheur devenue rougeur, il sait où il doit – va – aller.

perché sur l’rebord de la fenêtre, à des étages aberrants au dessus du vide, l’homme n’s’arrête pas dans ses actions, n’sursaute pas, n’laisse presque rien paraître alors que pan sait qu’il a senti sa présence. il l’sent dans la tension invisible de ses épaules – ou alors est-il toujours comme ça ? mais il sait qu’il a au moins à moitié raison quand il ouvre sa gueule infernale.

- t’sais que tu n’es plus au pays imaginaire, et que si j’te pousse tu tomberas et t’écraseras au sol dans la souffrance ? »
paperasse qu’il réorganise sans jeter l’moindre regard à pan. ça plait pas au gamin, il devrait avoir toute son attention comme à l’époque.
- me tente pas.
- j’aimerais rien de plus que de te voir t’écrabouiller. »
la tête qui s’tourne enfin vers lui, un sourire qui étire doucement ses lèvres sans la moindre joie – que du froid de sa cruauté.

c’est la pire des décisions que d’venir s’foutre dans les pattes de l’ancien capitaine crochet, parce qu’il l’voit et sa colère est encore plus profonde. mais pan est désespéré que de se raccrocher à un semblant de normalité – sa normalité –, et sa haine de cet adulte est ce qu’il connaît de plus normal.
alors oui, il cherche à commencer une bagarre. une des nombreuses qu’il a gagnée parce que l’vieux n’fait pas l’poids. n’faisait pas, parce que ça c’était avant.

pan rentre dans la pièce, rentrée par effraction même si james y a consenti silencieusement.

- t’arrives toujours pas à ma taille, j’te battrai encore pour la millième fois. »

éternelle provocation qui tord sa langue et fait vrombir ses cordes vocales, il n’avait pas du tout prévu la main synthétique, mais oh combien si réaliste, qui vient l’choper par la mâchoire, lui écrasant et l’brûlant les joues. il essaie d’se débattre, taper l’poignet qui l’maintient, mais rien à faire. combat qu’il ne veut pas abandonner, colère puérile, alors il continue de gigoter même si ça n’change rien à sa position de soumission.

- t’es sûr de toi ? j’pourrai t’écraser comme la fourmi insignifiante que t’as toujours été, peter. »

son ancien prénom si peu utilisé aujourd’hui l’fait frémir. l’corps qui l’trahit, bordel. la douleur qui devient plaisir, et évidemment l’capitaine l’voit, sourire arrogant qui déforme son visage dans une grimace appétissante.
putain pan déteste être en position de faiblesse, mais c’est pour souffrir et retrouver des habitudes d’antan qu’il est venu l’trouver. la dépendance s’est inversée, ils le savent tous deux même s’il ne l’avouera jamais.
l’besoin d’humiliation rugit dans l’bide de james, et c’est la raison – la seule ? – pour laquelle il fonce sur les babines tentatrices du jeune, pour l’posséder dans un baiser douloureux. mais l’blond tourne la tête au bon timing, et l’pirate s’retrouve à mordre jusqu’au sang la joue du gosse qui rugit sous la piqûre de la souffrance qu’il accueille un peu trop d’extase.
pas l’temps de réagir qu’il est envoyé valser à travers la salle, de cette main métallique trompeuse, et que sa tête cogne l’rebord du bureau. sang comme balafre sur tout l’côté droit d’son visage, de son front à sa joue.
des mouchoirs mentholés lui sont balancés à la figure, l’paquet précédemment sur l’étagère près de cet adulte tant détesté.

- essuie toi, ou j’te fais lécher l’sol pour l’nettoyer d’ton sang. »

il s’raccroche à une illusion de stabilité, sa stabilité qu’il a toujours connue, sans vouloir s’avouer que rien n’est immuable, même pas lui-même.

OH UESH !!!

Y A PAS ASSEZ LA !!! :panik:

J SUIS HYPE DE OUF PAR TON PERSO ET TON FC ! ET TA PLUME GENRE ?!
achève moi direct ça sera plus simple ! :shook:

Dépêche de finir que ma curiosité soit assouvie ! :krkr:

ça promet en totu cas ! Bienvenue parmis nous !

C'est définitivement la soirée des fables de qualités ce soir ! :drame:

Bienvenuuue !

Tiens, on se connaît aussi du Discord des RPGistes, c'est rigolo :mdr:

(tu sais y a quelques jours on avait aidé quelqu'un pour son disclaimer ihih)(ravie de te voir par ici donc, je ne connaissais pas ta plume et je suis contente de ce que je vois là :mims:

)

J'aime beaucoup le choix de métier que tu as mis dans ton profil, ça fait un contraste intéressant (et un petit clin d'œil au conte d'origine j'imagine ? :gerald:

)

Bon courage pour écrire la suite, c'est déjà très joli tout ça ! :love:

PETER JE L'ATTENDAIS TANT. ET QUEL DEBUT DE FICHE.
j'en attendais po moins de toi, pis @rory barks queen de nous ramener du beau monde lo. EN TTCAS BIENVENUE ET BONNE CHANCE POUR TA FICHE, ON T'ZIEUTE AVEC NOS JUMELLES ET ON ATTEND LA SUITE HOPHOP.

AH NON MAIS LÀ
JE SUIS ALLONGÉE SUR LE SOL
PETER PAN, très très très bon choix
tellement hâte de voir ce que tu vas en faire mais ce que tu nous offre me fait dire que ça va être ouf
bienvenue en enfer

OMFG PETER PAN LO

Je sais pas trop si je suis fascinée ou terrifiée
Vu le conte : je dirais both
C'est que c'est bon ca

Good luck pour ta fiche, hâte d'en lire plus, WELCOME

@tancrède lazarus le chapelier ahjsahjsahj. lechapelierlechapelier, LECHAPELIER.
:panik:

c'est trotrotro un bon choix d'perso, obv.
ET EUH DÉSO. j'étais en gueule d'bois c'est tout ce que j'étais capable d'écrire avec beaucoup de sueurs froides :snif:

mais promis l'reste arrive très très vite, si ce n'est même dans la journée alz.
MERCE POUR TES COMPLIMENTS, ÇA M'TOUCHE DE FOU.
t'inquiète, que du beau monde krkrkrkr.

@gerda renfot ofc que je me souviens :perv:

j'm'attendais pas du tout à t'retrouver là ('fin je m'attendais à rien en fait mdrrrr). mais ça fait grv plaisir.
totalement un clin d'œil au conte et au personnage d'origines. je compte bien plus l'reprendre que le peter qu'on a l'habitude de voir maintenant :buh:

yes yes yes, on aime le morbide.
en tout cas, merci beaucoup :koeur:

@connor wolf HEY SLT TOI.
ajhashjsah j'avais peur que peter ça fasse un peu cliché comme choix d'perso, mais azeh trop envie d'le jouer sur l'conte d'origine. J'ESPÈRE QUE L'PERSO SERA À LA HAUTEUR DE TES ATTENTES.
krkrkr @rory barks c'est une queen, mais faut pas trop lui dire.
les jumelles ça fait un peu voyeurisme, i like it.
:erik:

(btw le grand méchant loup avec g-eazy ? me gusta.)

@enola winterkill ON AIME L'ENFER.
:hell:

mais comment c'est trop gentil ce que tu dis :snif:

surtout qu'il y a encore pas grand chose d'écrit.
ET EUH LA PETITE FILLE AUX ALLUMETTES ?? azy relève-toi du sol, j'veux pas que tu meurs :snif:

surtout par ma faute.
thks thks !!

@erik brekker ptdrrrr quand j'ai lu la petite sirène pour l'conte, j'me suis dit que tu faisais une bien belle sirène. puis après j'ai vu que t'étais l'prince, obv. je :krkr:

cd fc pour c'perso, damned.
et oui, faut être fasciné-e et terrifié-e krkrkr. c'est bien la vibe que ce p'tit con dégage.
merce à toi en tout cas !

cet accueil, tou-te-s autant que vous êtes, comment ça me hype trop.
:emo:

HE DIS DONC BJR VOUS :shook:

Le perso promet comme d'hab

Allez amuse toi bien parmi nous 8D

@carmina jones ahjashjsahj T O I.
comment que ça fait plaisir.
le petit chaperon rouge + l'fc ?? tu m'tues.
l'perso a l'air si parfait en plus.
merce, et j'veux un lien krkrkr.

AH MAIS VLA LE BG QUI SE DECO DE LA CB EN TRENTE FOIS MINIMUM.
vas-y comment ça fait plaisir de voir le boule de pan par ici lo. thanks pour le cadeau @rory barks
puis le début de la fiche est dingue, mais est-ce que j'ai besoin d'le dire lo?? kill me plz.
nan mais peter pan, meilleur, pire choix. ce personnage est deg, j'adore.
puis le fc qui va avec?? franchement ça pète.
grv hâte de lire l'histoire et de claquer au sol tellement c'est fou.

hello you !
J'aime bien ce choix de feat ici aussi !
Vous choisissez tellement bien
:wa:

Ahlala il vend tellement du rêve ce Peter !
Je love !
Comme tu le résume, si wow ! :koeur:

Ce métier d'une poésie lugubre et mélancolique, i love it !
bienvenue à toi ici !!!!

:xoxo:

@gerald twele EXACTEMENT. beau gosse attitude qui pose déjà ses sorties théâtrales à peine arrivé - et pas du tout dans l'abus, même sans faire exprès. TRENTE FOIS MINIMUM OBV.
et quel boule, s'pas ?? :perv:

t'inquiète geraldine, j'te réserve un bout d'sa fesse stv (jk) (oupas).
ptdr @rory barks est trop tagguée sur cette fiche, jpp.
mais mercimercimerci vrmt pour les compliments. j'sais plus où m'foutre, mais ça m'fait grv chô au cœur. j'espère vrmt que ma version de peter va vous plair :snif:

claquer au sol, j'viendrai t'rejoindre à terre pour cuddle quand même.
ptn quel accueil, j'te love déjà.

@kay renfot awww c'profil qui envoie du gros lourd, avec c'fc qui déchire qu'on voit pas souvent.
('y a pas beaucoup d'reine des neiges dans les parages, comment j'connais trop pas l'histoire).
ptn tes mots sur l'métier ?? j'adore. c'est absolument dans la vibe que je voulais créer. grv content que ça se ressente ajhahjsajh.
merci, tu déchires ptn !
:leuv:

azy.
même po ça fait semblant ici. :koi:

j'l'ai déjà dit mais pan c'est le feu, worst personnage de conte. surtout avec ta patte. genre tes idées là wow. puis j'parle même pas de la plume. brf un plaisir de t'lire et j'pense qu'on va kiffer (ou pas, j'penche pour le pas) s'faire avoir par ta gueule d'ange. :uou:

bienvenue à la maison. :bg:

(et i kno que j'suis une queen c'est mon middle name de naissance)

@rory barks yas à force d'harcèlement t'es venue, c'pas trop tôt wsh lo.
worst personnage d'conte mais l'plus bô et l'best aussi. tu l'sais bby.
ajhsahjsah vous allez kiffer de pas kiffer.
vrmt un gros gros thks bby de m'avoir fait découvrir l'forum, comment j'suis grv heureux j'en pleure :snif:

(émoji représentatif si t'avais pas compris t'sais)
merce pour tous les compliments, j'te donnerai un bonbon pour la peine.

Mais vouzici. :perv:

Je n'ai pu m'empêcher de venir avant ta validation.
Le sang d'la veine représente. (St'a la ref, t'es un bon ! ) :mdr:

Toujours des idées de perso aussi exquise.
BIENVENUE bbchat. :red:

@billie bell MAIS. MAIS. MAIS.
L'CARMIN D'MON MERCURE ahjsahjsahj (ou toute autre connerie qu'on disait, j'sais plus trop).
j'me disais bien que l'pseudo m'disait quelque chose, mais j'savais plus d'où.
comment que j'suis trop content jpp.
:emo:

et toi tu m'tues avec taylor en peau d'âne. cette perfection, damned.
viens autant que tu veux, tu fais vrmt trop plaisir lo.

tourner la page

Validation

allez jsp quoi dire parce que waaah comment il défonce le pan, je ???? tu sens l'tourbillon tout autour tu sens qu'il tombe de plus en plus et c'un truc de fou chu en pls il est trop cool. allez continue d'envoyer du rêve à défaut de poussière de fée.

Y'a pas à dire t'as tout cassé sur ton passage, même les murs, même les pavés, t'as su retourner les rues et les villes. Maintenant que c'est fait et que t'as enfin pu prendre forme, t'as au final pas grand-chose à faire par la suite. Y'a ces petits utilitaires qu'on te cale sous la patte, te faire des liens ou tout simplement directement aller flooder pour te fondre dans la masse, même glisser du côté de la CB qui sait. Si t'es un DC/TC/QC on t'invite à te recenser. En tout cas on te remercie et on espère que tu trouveras en USD un nouveau toit sympa sur lequel tu pourras écrire sans te prendre la tronche, sans avoir de poids sur les épaules. :love: