Toi qui entre ici abandonne toute espérance, les contes te cracheront à la gueule leurs plus belles histoires. bienvenue sur USD. Des tas de pré-liens ainsi que des prédéfinis sont libres et très attendus, n'hésite pas à jeter un oeil. |
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| Run run lost boy | |
| Auteur | Message |
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Michael Kite arrivée : 15/12/2020 messages : 90
I press my hands against
my chest, wishing I could
somehow be even closer
to him. I hate skin;
I hate bones and bodies.
I want to curl up inside of him
and be carried there forever.
☽ fiche• liens• moodboard☾
nature : Fable ordinaire, pas le plus bandant des héros fictionnel fable : Michael Darling, peter pan, le cadet, le non-désiré, l'abandonné coeur à droite : N’en désir qu’un, se désintéresse de tout autre. occupation : Lustre le bois du bar du Jolly roger, remplie les verres arc-en-ciel, Barman fidèle au poste. Chien de chasse du capitaine lorsqu'il ne fait pas teinter les verres, là ou le crochet pointe il s'y rend..
les minables
| Sujet › Run run lost boy Mar 14 Déc - 16:17 | |
| Michael Kite tw ;;Mention de kidnapping, bdsm, violence, sexualité, description(s) graphique(s), langage vulgaire
Démons et merveilles identité ;; Michael banalité affligeante, trahison de son humanité barbante, de son imagination stérile. Quand l'ainé possède le don de créer des histoires rocambolesques avec son esprit, le second de raisonner avec assiduité, que reste-t-il au cadet ? Si ce n'est des miettes ? Quel talent ? Hormis sa gueule de poupon maintenant perdue aux années passées ? Incapable de trouver patronyme plus saillant pour sa personne ... L'envie de l'entendre être susurré encore et encore par la bouche autoritaire, par les lèvres désirées tant de fois goûtées... Dans sa bouche, il ne semble pas si terrible, si barbant ce blase. Kite, assassine sa vie d'avant, s'en détache sans un regret ou un regard en arrière. Embrasse sa nouvelle identité, sans pour autant se creuser la caboche pour la trouver. Kite, c'était le surnom qu'on lui donna sur le bateau au drapeau noir. Parce qu'il était agile, comme un petit oiseau de proie, fragile, mais plein de ressources, plus redoutable que prévu, la lame offerte par le maître des lieux remplaçant le bec acéré. Parce que certains disaient, c'était qu'un rapace, qui attendait son heure pour agir, pour bouffer les restes, pour chiper la place. Parce que c'était franchement glauque de vieux gars suintant appelant un gosse de quatorze pige Darling.âge ;; 23 années, l'âge ou t'es pas tout à fait un homme, et presque plus un enfant. Et pourtant, il a l'impression que le temps de l’insouciance à trépassé, noyé dans les eaux cristallines entourant le pays imaginaire il y a bien longtemps, ou étaient-ce les eaux crades de la Tamise ? Quand le conte féerique avait-il commencé à se fissurer ? Quand les paroles mielleuses de Wendy avaient-elles cessé de l'endormir ? Quand l'enfant n'en était plus un ? Quand ses rêves puériles se sont-ils brisés, plus fin et scintillant que la poussière de fée ? Vingt-trois années, une majorité passée sur une île sans logique au service d'un égocentrique pédant puis au crochet de celui qui lui donnait des cauchemars la nuit dans son lit de gamin insouciant. Ça lui semble pas assez ... Si peu pour tout ce qu'il a vécu. conte ;; Michael Darling, pas le plus bandant des héros frictionnels… Pas le plus mémorable non plus. Le gamin non-désiré, celui de trop, celui qu’on a confiné dans le rôle du bébé a s’abîmer les genoux dans un berceau, celui qui a tué trop tôt, celui qui a continué de croire en leurs aventures fantasques le plus longtemps, celui qui voulait juste faire plaisir à sa grande sœur, celui qui a laissé la fenêtre londonienne ouverte une fois de plus, celui qui ne revit jamais la tanière de l’enfant éternel… Michael Darling, celui qu’on a oublié, celui qu’on a abandonné… Celui qui voulait juste réunir sa Wendy avec le garçon qui avait changé sa vie… Celui qui voulait juste prouver à sa grande sœur, celle qu’il considérait encore comme une seconde mère à l’époque, combien il était prêt à affronter pour simplement la voir sourire… Celui qui n'a pas arrêté de beugler qu’elle viendrait… Qu’elle préviendrait Peter et Tink, qu’elle ne va pas tarder… Parce qu’elle est comme ça Wendy, parce qu’elle l’aime, parce qu’elle l’a toujours choyé et protégé, alors elle va poser le pied sur ce taudis de rafiot, et elle va le sauver, le ramener à la maison… Tel était les certitudes de Michael lors de sa captivité sur le Jolly Rogers … Adolescent dont la naïveté s’effrite au fil des nuits froides, dont la certitude se brise lorsqu’il revoit un Peter indifférent à son sort… Jamais il ne sut si l’égocentrique garçon l’avait oublié, ne l’avait pas reconnu à cause des années passées, ou s'il n'en avait juste rien à foutre de ce qu’il pouvait lui arriver... Michael Darling, le héros tertiaire dont tout le monde se fou, le gamin dont le simple nom de crochet le faisait se cacher sous les draps et emplissait sa caboche de cauchemars, l’adolescent esseulé qui se lit avec l’ennemie, baise les bottes du capitaine, devenant son ombre la plus fidèle. métier ;; Le tintement des verres qui s’entrechoquent, le parfum âcre de l’alcool qui brûle les narines, les liquides addictifs aux couleurs scintillantes sur les étagères, les rires rauques des clients nouveaux comme habitués, leurs complots, leurs confidences, leurs flirts. Tel est son quotidien de barman au Jolly Roger. Métier qu’il effectue avec sérieux, exécute les cocktails et autres breuvages avec aisance, tend l’oreille pour les esseulés, le regard perçant à la recherche du moindre trouble à taire dans l’œuf. Profession qui n’est pas unique, cabot du maître des lieux, chien fidèle s’acquittant de toutes tâches exigées par le Capitaine sanguinaire. Homme de main obéissant, ombre seconde du bourreau des bas-fonds. Un paquet à délivrer, une personne dont il faut devenir l’ombre, quelques dents à briser, quelques visages à tuméfier, qu’importe l’infamie qui l’attend, là où le scintillant crochet pointe, Michael si dirige sans questionnement aucun. orientation sexuelle ;; Les iris qui longent les courbes féminines avec indifférence et lassitude. Aucun intérêt, aucun émoi pour le sexe opposé, les avances des donzelles qui se heurtent à un mur glacial. Uranie découverte des années durant, sur les planches humides et craquantes de sa prison maritime, poussée afin de charmer un homme en particulier, se rendre indispensable. La découverte qui se mue en test perpétuel, les limites qui sont retranchées, la peau qui se marque, les joues qui se noient de sel, l’innocence du gamin qui se fond dans la perversité, dans le stupre avec celui dont il craignait le simple nom lorsqu’il n’était encore qu’un poupon. statut civil ;; À la question, il affirmera toujours son célibat, supposément libre de cœur et corps, la chaîne d’argent à gorge ornant les marques violacées sur sa peau prouvant le contraire. N’en désir qu’un, se désintéresse de tout autre. Michael, il devait se glisser dans les draps du capitaine dans le seul but de survivre, de prouver son utilité, d’éviter la planche. Michael, il n'était pas censé en tomber aussi amoureux. Est-ce seulement de l’amour ? Ou le besoin d’appartenir ? Le besoin de combler un manque de figure masculine, forte dans sa putin de vie pathétique ?! Jamais ces mots mièvres ne franchirent ses lèvres charnues. Y a-t-il seulement besoin de déclaration ? Quand chacun de ses regards pour James quémande son attention, que son esprit n’est rempli que de moyen de lui plaire, que son cœur ne désire qu’être à ses côtés pour toujours, que son corps ne s’éveille qu’à son toucher ? Désespérante dépendance, pathétique certains diront même. Michael il ne peut pas le perdre, il ne peut ps être abandonné de nouveau … Pas par lui, surtout pas par lui ! S'il n’est plus d’utilité pour le jadis Hook, son monde se fige, le capitaine et pour Michael ce que Peter est à Neverland : vitale. statut monétaire ;; Inexistant. Les billets et pièces dans sa poche dépendent du bon vouloir de James. Michael ne possède aucun pécule, aucun compte en banque à son nom. Le moindre objet qui attise son désir de possession ne pourra être acquis qu’après supplications et demande au capitaine. Le soumis dépendant à celui qui lui a passé une chaîne autour du cou, incapable de fuir ou faire sa vie propre si un jour cette envie, peu probable, lui venait. traits de caractère ;; Adieu l’insouciant innocent des pages poussiéreuses du roman, Michael il a enterré celui qu’il était et il compte pas remédier à cette situation. La douceur à fait place à une fermeté froide qui se teinte par moment de violence. Pas si étonnant de la part d‘un gamin qui a planté un pirate sans rechigner, prémisses de sa consilience aux sévices, le sang sur ses doigts il n’en a cure s'il est nécessaire. Préférera user de sa verbe plutôt que de ses poings, sarcasme qui lui chatouille le palet, commentaire acerbe en réponse aux idioties d’autrui, la lassitude qui marque sa gueule en permanence. La glace qui dissimule le brasier. Excédé par la niaiserie mièvre, le temps des rêves et des contes de fée longtemps enterré, encré dans la réalité crade et moite, il ne se berce plus d’illusions. Il n’y a pas de prince charmant, pas pour un personnage quaternaire comme lui, l’happy ending ne lui est pas accordé, on mentionne vite fait qu’il respire encore dans les lignes finals du récit sans s’attarder, on ne lui offrira pas sur un plateau d’argent ornée de confiseries et autres pâtisseries, il lui faut le créer, l’arracher des mains chanceuses et se battre pour le garder. Ténacité qui brûle les tripes, combattant assidu, se montre plus coriace qu’il en a l’air, il prend les coups avec une étrange facilité, le masochisme dans l’âme. Rancunier envers ceux qui l’ont offensé, montre les crocs, trépanes de poésie vulgaire et blessante, le pardon difficilement accordé, le poison de la colère qui teinte ses iris bleutés. Dévotion loyal envers ses alliés, prés a traverser monts et marrés pour les aider. Dévoile un aspect plus joviale et aimable en leur compagnie, pas trop non plus, préfère garder ses secrets, ravale ses émotions jusqu'à l'étouffement. Distant observateur, les iris qui caresses les individus et les situations. Charmant par occasion, une facette attachante qu'il ne sert pas à tout le monde. La provocation tantôt lasse, tantôt vile, tantôt séductrice qu’il gerbe de ses lèvres rosées, jaloux, pas en général, seulement des autres qui s’attirent les grâces du capitaine. De son capitaine, la conscience de ne pouvoir exiger fidélité, exclusivité tout en devant l’accorder. La rage qui le ronge, l’envie de leur lacérer la gueule alors qu’ils lui offrent ce rictus de victoire, les amants de passage aussi vite oublié que baisé. Se montre charmant avec un autre alors, sensualité tantôt inconsciente tantôt maitrisé, use de son éducation de gentilhomme à bon escient, revêt un masque d’intérêt et de doucereux naïf (jouer des rôles, il est doué en la matière, tout comme pour le mensonge, s'adapte avec aisance aux situations qui lui tombe dessus). Jamais avec sincérité, par simple acte de vengeance, sans jamais franchir le pas. Parce que Michael il osera jamais aller aussi loin, parce qu’il en désir qu’un et que c’est une obsession qui le dévore, le trépasse à petit feu. L’angoisse qui lui donne de la tachycardie, la peur de ne pas être assez bien, d’être inutile, besoin compulsif d’avoir une utilité, qu’importe la nature, ce qui l’a poussé à apprendre bien des choses sur ce monde, sur ce nouveau métier, tâche facilitée par une intelligence fertile qu’il utilise à bon escient la plupart du temps. Appliqué assidus. L’anxiété qui lui fait grincer les dents, qui aliène ses pensées. La terreur de l’abandon, de son abandon, péterait un câble s'il devait se retrouver sans Hook, le petit soldat de plomb se changerai alors en cire, fonderait, la solitude, l’indépendance impensable pour sa caboche endommagée. Fidélité mal placée, totale, prêt à prendre un chargeur entier dans le bide pour lui, marionnette qui se laisse allégrement manipulée par le crochet. maintheme ;; I fall appart • Vi moodboard ;; La cale du jolly Roger groupe ;; Les résignés il a pas palpitant qui frétille de bonheur d’être dans cette ville, ce monde encore plus grisâtre que sa Londres natale, il a pas non plus l’esprit empli de plomb à l’idée de passer une journée de plus derrière son bar plutôt que sur les eaux claires entourant le pays imaginaire. Ici ou là-bas le gamin, il se laisse porter par autrui, il suit le courant, faudrait juste qu’il veille à pas finir par couler. constat sur sa nouvelle vie ;; Il aura pas la vantardise de clamer que ça fut facile ! Découvrir un monde similaire au siens, mais diffèrent, des années dans le futur de celui qu’il avait connue chez les Darline … Au moins avait-il l’avantage sur ses confrères corsaires de n’avoir que quelques années de retards, de connaitre une civilisation à peu près moderne... Ce fut une corde à son arc qu’il comptait bien user jusqu’au dernier fil ! Ce besoin viscéral d’être utile, la peur d’être délaissé une fois dans ce nouveau monde, de devoir quitter l’ombre de James… Alors Michael, il apprend, il s’adapte pour pouvoir leur apprendre, il ravale cet aliénant trouble qui lui gratte l’esprit : c’est son monde, sans l’être… Découvrir une foutue île par-delà les mers avec des fées et un gamin personnification de l’ego qui vieilli pas, il y avait déjà de quoi ravagé la caboche… Mais apprendre que toute ta vie t’a été qu’une histoire, comme celle que ta traîtresse de sœur te racontait pour t’endormir… Découvrir que cendrillon elle fait ses courses au super u du coin comme toi maintenant… Comment aller bien après ça ? Michael sa solution, ce fut se plonger dans le travail, retaper le bar, apprendre à servir, le nom des alcools, comment faire les cocktails, quels clients préfères son whisky de quelle manière, comment satisfaire le capitaine, comment rester son ombre. Le cadet des Darling il aurait surement péter un câble s'il avait été seul, sans son rôle à remplir, sans ses craintes d’être abandonné qui l’empêchent de se laisser couler, il a choisi de pas avoir le temps d’y penser, il a plongé tête baissée, les yeux fermés dans tout ce merdier, il s'est forcé à s’adapter, comme il l’a fait avec les garçons perdus, comme il l’a fait sur le jolly roger. Survivre, lui plaire, on verra plus tard pour la thérapie. Besoin de garder un lien avec le passé, trahit par ses habitudes vestimentaires, sortie d'un autre temps avec une touche de modernité. Le livre et sa couverture pseudo/prénom/pronom ;; MillinerXIII, Sévane, elle âge ;; 28 hivers comment as-tu découvert usd ? ;; j'ai vu la lumière, j'arrive plus à partir maintenant quelque chose à nous dire ? ;; avatar ;; Freddy Carter crédit(s) ;; avatar by gerard-menjoui, icons by kawaiinekoj
A VIVISECTION OF ME à lire ;; Michael il avait toujours eu l’impression d’être de trop, malgré la tendresse de wendy, l’attention de nana et l’amour de sa mère, c’était en grande partie dut aux deux autres figures masculines de la maisonnée… George et John. L’un n’avait de cesse de compter les dépenses occasionnées par chaque nouveaux chiards enfantés, Michael étant le troisième à vider le compte en banque, il lui semblait bien souvent que la moindre demande innocente ou le moindre morceau de pain ingurgité de trop aller mettre la famille sur la paille … Sans compter les nombreuses crises du paternel, si ce dernier était conspué ou ne serait-ce qu’un tantinet douté la fin du monde était déclaré, le dramaturge prenait place, les larmes de crocodile qui inonde la moquette, la rage qui colore sa face vieillissante. Toute la petite famille devait alors courber l’échine, baiser ses pieds et le couvrir de compliments et d’amour afin de gonfler et satisfaire son égo endommagé, le faire roi du monde un cours instant. Fit des abus, de la mauvaise fois, des mots durs et de la couardise, on voulait juste que le calme revienne, qu’il prenne Michael sur ses épaules devenant son destrier pour quelques minutes d’allégresse… Gamin, ces instants de joie lui faisait oublier que son père le traitait de lâche ou d’autres noms d’oiseaux peu flatteur… Mais c’était son père, on est censé tout lui pardonner et l’aimer quoi qu’il arrive non ? Il ne comprit que bien plus tard comme ces disputes avaient pu le marquer… Celui qu’il peinait à pardonner avec autant de facilité était John, le génie, le bien-pensant. Ses mots acerbes et cruels envers un gamin qui sert encore son nounours dans ses bras, la marque de rouge à lèvres maternelle marquant sa joue et les bulles de son bain qui colorent sa chevelure d’arc-en-ciel... “Personne ne veut de toi.” Le garçon ne peut savoir comme cette simple phrase lancée suite à un jeu avec l’ainée avait marqué le plus jeune… Elle lui avait trotté dans la tête, mélodie entêtante des années après, après l’aventure que tous et toutes connaissent… Après le pays imaginaire, après le récit qui noircit les pages des bouquins prenant la poussière sur les étagères de nombreux communs. Michael il n’est pas le personnage le plus intéressant du récit, pas même un personnage secondaire, plutôt tertiaire ou quaternaire … Si on devait réunir chaque mention de sa personne il y aurait de quoi remplir une page recto verso peut-être deux si on est généreux. Michael on se fou pas mal de lui, il est dans son berceau à jouer les poupons pour Wendy, on le nomme seulement pour rappeler qu’il existe ou quand il faut planter un pirate durant la bataille finale. Nul doute que l’aboutissement fictionnelle n’aurait pour rien changé si Peter, dans sa quête d’accomplissement, de fertilisation de son égo, avait mis une seconde de trop à le rattraper alors que le plus jeune chutait vers l’océan, tombant de sommeil durant leurs voyages au pays imaginaire… (Certainement que la victime aurait été blâmé pour cet échec, puisque le petit roi égocentrique ne commettait jamais faute aucune !) Wendy se serait-elle souvenue de lui alors ? Aurait-elle conté son souvenir comme elle le fit pour leurs parents aux garçons perdus ? L’aurait-elle pleuré ? Pour combien de temps ? Où l’aurait-elle oublié ? N’est-ce pas ce qu’elle fit une fois le livre clos? Michael il est pas le centre de l’histoire, facilement oubliable, en faute de bien des maux. Ruiner la famille de par sa naissance, avoir refusé de prendre son médicament rendant leur dernière interaction paternelle conflictuel, dispute ayant conduit nana dans la cour enchaînée à un arbre comme une esclave, s’être plaint du silence assourdissant du pays imaginaire de suite brisé par un boulet de canon en leur direction mettant Wendy en danger. S'il avait clos son clapet peut-être jamais ce canon n’aurait tiré, peut-être jamais sa grande-sœur aurait dut faire confiance à une fée jalouse, peut-être n’aurait-elle jamais frôlé la mort … Peut-être, peut-être, peut-être… Était-ce pour cette raison qu’elle s’était détournée de lui ? En avait-elle eu assez de le couver ? Au moment où il avait le plus besoin d’elle ? Wendy, elle était devenue des mois durant sa mère, elle avait beau lui rappeler qu’il avait une autre maman, là-bas, par-delà l’océan, dès qu’elle jouait les marâtres aimante et la parfaite femme pour Peter son discours se dissolvait de l’esprit enfantin. Wendy, elle avait toujours pris soin de lui, plus encore sur l’île enchantée, Michael il lui portait un amour et une confiance aveugle… Cela n’avait pas changé suite à leur traversée de la fenêtre familiale, leurs retours dans la nurserie, familière dès qu’il y posa les pieds. Retours à la normalité, le roi tortionnaire qui promet, la princesse marâtre qui sourit, pas certain qu’elle l’ai cru entièrement. Peter, il disparaît, son ombre ne se dessinant plus à leurs fenêtres, il aurait sûrement été déçu de ne plus y trouver Wendy –enfin, pour ça, il aurait fallu qu’il se souvienne d’elle - plus grande, la jeune fille, elle avait besoin de son intimité loin de ses cadets. Michael, le poupon, celui qui avait dormi dans un berceau, confiné au rôle de nourrisson de par sa petite taille, il avait plus rien avoir avec ce gamin qui traînait son ours en peluche partout, adolescent à présent, une vie de responsabilité qui se profile devant lui, devant eux… Encore plus pour Wendy, dans la fleur de l’âge, la rêveuse qui doit s’enraciner dans la réalité, se laisser dévorer par la société… L’anniversaire fatidique qui arrive, un pas de plus vers la tombe de l’âge adulte… Le cadet aimant qui souhaite la ravir, l’insouciant qui fouille dans ses tiroirs afin de retrouver ce petit flacon scintillant… Des restes de poudres de fée, la poussière de Clochette la jalouse, récolté sur leurs vêtements après leurs retours béni, préservé en secret durant toutes ces années. L’hésitation, le calcul du voyage… Parviendra-t-il seulement à se rappeler du chemin ? “Deuxième à droite et filer tout droit jusqu'au matin” Était-ce seulement une vraie indication ou une autre fabulation de Peter ? Trop jeune à l’époque pour se rappeler de chaque continent et océans survolés … Le doute qui l’envahit alors qu’il remplit un sac de vivres, n’ayant guère envie de voler à des oiseaux leurs bectés de nouveau… L’incertitude alors qu’il tend la lettre à la servante, exigeant qu’elle ne soit donnée à Wendy que le lendemain matin… “Pour ton anniversaire, je souhaite t’offrir de propres au revoir avec Peter. Garde la fenêtre ouverte pour nous. M.” Le pyrrhonisme quand il se tient devant la fenêtre, cet encadrement où il avait pu se glisser sans peine enfant, qui le forçait à courber l’échine à présent … La forme de vêtement sous ses draps tromperait-elle sa famille suffisamment longtemps ? Serait-il reconnu une fois arrivé ? Accepté malgré son âge plus avancé ? Peter se souviendrait-il seulement de lui ? De Wendy ? N’avait-elle pas dû lui répéter durant leurs allés “Je suis Wendy, je suis Wendy, tu te souviens ? Wendy ?” Pourrait-il seulement voler ? Croire était la clé enchantée, heureusement pour son projet, le cadet était celui qui avait cru le plus longtemps. Ça en était presque cruel, en un rien de temps il avait oublié sa vie londonienne, mais jamais il n’avait effacé de sa mémoire l’existence d’un gamin éternel, de sa donzelle à aile et de leur ennemie au crochet impitoyable. Une inspiration, un pas dans le vide… Le corps qui se soulève, flotte dans les airs, le début du voyage, le début de la fin, la dernière fois qu’il verra Londres fictive. Si on devait le questionner sur comment il était parvenu à retrouver le chemin du pays imaginaire … Un coup de chance serait sûrement sa réponse, un miracle même… Une malchance pour le gamin pavé de bonnes intentions, qui à peine le pied posé sur la plage scintillante se retrouve la bouche close d’un bâillon, traîné dans une barque, jeter sur le pont du Jolly Roger. Les pupilles océans qui se posent sur une figure familière, écrasante, celui dont le nom seul gardait le sommeil éloigné du gamin durant son enfance… Capitaine Crochet. Il avait cru être parvenu à survoler l’île avec un minimum de discrétion, il s’était bien fourvoyé apparemment… Aux questions sur son identité, il ne savait que répondre... Quels mots lui assurait une survie plus longue ? Il se torturait les méninges alors que le contenu de son sac était gerbé sur le planché humide, la fiole de poudre de fée scintillante, son salut de retour s'il avait fait chou blanc roulant jusqu’aux bottes du maître du navire au final, il n’eut aucune réponse à donner, la photographie de sa fratrie, datant d’après leur premier voyage en ce pays -emporté dans l’espoir de raviver la mémoire de Peter si jamais son esprit les avait effacés de ses souvenirs - trahissant son identité “Michael” avait prononcé les lippes impitoyables du Némésis, en un rictus qui fit se glacer le sang du su nommé. Michael n’aurait su dire combien de temps, il avait passé dans la cale, enfermé, pour seule compagnie le grincement de la coque et le bruit des vagues qui s’écrase avec désespoirs contre le rafiau. Additionné aux visites d'une petite étincelle chafouine, dont il ne comprenait pas les tintement, mais dont la compagnie rajoutait un peu de couleur dans le quotidien du naïf gamin. Le plan était de l’utiliser pour attirer Wendy, qui attira Peter… Mais les aurores succédaient aux crépuscules sans que l’ainée n’ait donné signe de vie ou d’intérêt… “Elle va venir. Elle va me sauver !” qu'il à beuglé tout bout de champ, encore et encore, telle une aliénante comptine … Elle savait où il était, elle trouverait un moyen… Jamais elle ne l’abandonnerait ici, aux mains des pirates… Jamais elle ne lui ferait ça… Jamais, jamais, jamais. C’était le mot, mais pas la bonne intention… Jamais, en effet, jamais elle ne vint. L’assurance de Michael se flétrit de plus en plus, l’espoir devenant désillusion… Personne ne vint pour lui, pourquoi ? Qu'est-ce qu’il avait fait de mal pour qu’on ne le désire plus ? Pour qu’on l’abandonne sans un regard en arrière ? Wendy, avait-elle clos la fenêtre dès qu’elle avait lu sa lettre, un rictus de soulagement aux lèvres ? Étaient-ils heureux d’avoir des dépenses en moins à faire maintenant qu’il n’était plus là ? Est-ce qu’elle lui en voulait pour quelque chose ? Pour le boulet de canon ? Pour avoir oublié mère et père ? Pour avoir attendu trop d’elle ? Pour l’avoir trop aimé ? Qu’elle était sa faute ? Qu’avait-il bien pu commettre pour que celle en qui il portait son entière confiance se détourne de lui ? Il n’y avait plus d’enfant Darlings, il n’y avait plus de trio aventureux… Il n’y avait plus que lui… Michael, l’oubliable, l’inutile… La becté de trop, le prisonnier sans but dont il fallait se débarrasser sur la planche. L’envie de survivre, la rage qui brûle ses entrailles, la promesse de faire n’importe quelle tâche aussi ingrate soit-elle. Une certaine satisfaction sadique dans les iris sombre du capitaine, à le voir à genoux ainsi, agrippé aux barreaux de sa cellule. Une sorte de promesse, voir combien de temps, il tiendra. L’adolescent il rechigne à aucune servitude, qu’importe combien elle est dégradante, il s’exécute, ravale sa fierté, enfouie ses larmes sous ses paupières, sert les dents, ignores, les bleus et autres plaies qui couvre sa peau pâle, la fatigue, il la repousse, et il s’applique. Ça dure plusieurs années où certains pirates semblent même oubliés ce qu’il était avant, Michael devient Kite pour la plupart d’entre eux, surnom gagné suite à ses chantonnements durant ses taches, tel un oiseau, à son agilité comme un petit rapace. Peter il l’a revue, jamais il n’a sur si ce dernier l’avait reconnue, mais ignoré ou si son existence fut effacée de sa caboche emplie de narcissisme. Pour le héros de l’histoire, le personnage quaternaire n’était qu’un pirate parmi tant d’autres. D’adolescent, il passe à jeune adulte, et y en a qui râle, parce qu’il reste une bouche de plus à nourrir, qu’importe ses efforts, qu’importe la fidélité dont il a fait preuve, il reste un garçon perdu, on quémande la planche pour son sort. Michael, il refuse de crever, le personnage oubliable, il se fait coriace, il écrit son histoire de lui-même ayant arraché la plume des mains de l’écrivain. Plus un enfant, obligé de grandir plus vite qu’il ne l’aurait dû, le mousse il observe, les regards, les gestes, les affinités entre l’équipage. L’homme qui se glisse dans la cabine royale pour y passer la nuit, qui est étendu dans les draps du maître de navire quand il leur apporte un plateau de victuailles. Sans scrupules, le cadet des Darlings il franchit le pas, il colle ses lèvres rosées à celle venimeuse du capitaine. Il tire profit de sa jeunesse de sa gueule de poupon qui semble plaire, il lui fait une promesse. Lui donner, tout ce que son amant actuel ne peut lui offrir. Tant qu’il le laisse rester, tant qu’il lui promet de le garder à ses côtés, obéissance aveugle, échine courbée. Coup de poker, qu’avait-il à perdre ? Dans le pire des cas, il finissait tout de même sur la planche, dans le meilleur, il venait de s’accorder un sursis. Culot auquel il ne croyait qu’à moitié… Et pourtant, le fruit de ses cauchemars d’enfant accepte, peut-être impressionné par sa ténacité, par son audace, peut-être lassé de son amant, peut-être par jeu, envie de voir jusqu’où il pourrait le conduire avant de le briser. La réponse, Michael il ne l’avait pas, tout ce qui comptait, c’est qu’il avait gagné son ticket pour survivre. L’innocence qui se noie dans la dépravation, les lèvres qui découvrent un peu plus sa peau, les siennes qui sucent, la main baladeuse de velours puis de fer, la peau de porcelaine qui se parme de violacer, maronné ou jaunasse, l’hémoglobine qui dégouline tachant les draps, le foutre qui coule entre ses cuisses, le souffle qui est arrêté, la provocation, l’entendement, une certaine alchimie qui naît dans les draps souillés. La proposition d’arrêter, de céder, l’arrogance de refuser, la ténacité d’aller plus loin, Michael il se fait soumis séditieux, en témoigne la chaîne d’argent qui orne sa gorge, dont l’attache circulaire laisse glisser la corde métallique, pour mieux serrer sa pomme d'Adam, colorer son épiderme, rendre le souffle difficile. Collier de chien avec un peu plus d’allure auquel il porte sans cesse ses doigts, soumission aliénante, dévorante. Son moyen de survie qui devient son obsession, le cauchemar qui se fait vital, prit à son propre jeu, piégé. Michael, dans sa cellule il avait moqué Wendy pour son obsession pour Peter, la pitoyable petite femme au foyer qui s’esquinte les genoux dans la poussière pour satisfaire celui qui fait chavirer son cœur. L’ironie qui se gausse, le moqueur qui devient moqué. Faut croire que le dicton dit vrais, telle sœur tel frère.
Dernière édition par Michael Kite le Dim 2 Jan - 12:44, édité 26 fois |
| | | Connor Wolf arrivée : 20/10/2020 messages : 1071
here in the forest dark and deep, i offer you eternal sleep.
nature : fable. fable : le grand méchant loup qu'allait graille le chaperon et pierre, l'agneau et les trois cochons. y'a pourtant que les résidus de bile qui tapissent les babines. coeur à droite : entre les cuisses, dégueule les amours décomposés sur le bide rougit et dégonflé. inscrira pas son blase sur un bout de papier, l'avalera en entier. occupation : travailleur du sexe sans frange et sans chewing-gum fraise, gigolo sur les réseaux, l'argent facile qui tombe sous les coups de reins. la promesse d'un amour de passage, l'a la dalle, l'a les crocs.
les minables
| Sujet › Re: Run run lost boy Mar 14 Déc - 20:47 | |
| !!!!! oh dAMN LE FAMEUX. dis-donc c'est qu'il est super chouchou le freddy, jdr sa bouille. tu coco déjà la zonzon alors rEBIENVENUE. |
| | | Gerald Twele arrivée : 20/10/2020 messages : 388
nature : fable. fable : le joueur de flûte de hamelin, pulsion de mort dans une boîte à bonbons. coeur à droite : le flirt moqueur, l'amour déçu. libido qui paresse après dix heures du soir. occupation : monteur de films pornos. il y a le bruit sonore d’un gémissement patenté pendant qu’il se contorsionne. pendant que la petite princesse se fait prendre le cul par l’idiot du village.
les minables
| Sujet › Re: Run run lost boy Mar 14 Déc - 21:43 | |
| VLA LA NOUVELLE POUSSE JE COCO PAS LE GUS NON PLUS MAIS JTROUVE IL COLLE GRV A MICHAEL RE-BIENVENUE LO, pis avec ce début de fiche gkbrnl ultra hâte de lire l'histoire. que du love bb. |
| | | Michael Kite arrivée : 15/12/2020 messages : 90
I press my hands against
my chest, wishing I could
somehow be even closer
to him. I hate skin;
I hate bones and bodies.
I want to curl up inside of him
and be carried there forever.
☽ fiche• liens• moodboard☾
nature : Fable ordinaire, pas le plus bandant des héros fictionnel fable : Michael Darling, peter pan, le cadet, le non-désiré, l'abandonné coeur à droite : N’en désir qu’un, se désintéresse de tout autre. occupation : Lustre le bois du bar du Jolly roger, remplie les verres arc-en-ciel, Barman fidèle au poste. Chien de chasse du capitaine lorsqu'il ne fait pas teinter les verres, là ou le crochet pointe il s'y rend..
les minables
| Sujet › Re: Run run lost boy Mer 15 Déc - 13:01 | |
| @Connor Wolf HERE HE IS !!! Je délaisse un traumatisé pour un autre XD MAIS OUI ! Il a une trop bonne bouille ! Contente d'être revenue @Gerald Twele ON EST D'ACCORD ! C'est pile se que je me suis dis quand je l'ai choisi en fc ! ldfjlfdkjfd t'es trop chou mici Hâte d'écrire la suite ! |
| | | Gerda Renfot arrivée : 01/11/2020 messages : 283
❖ ❖ ❖
Will you breathe through me?
And calm the storm inside
Just breathe through me
We'll keep the fires alight
I'll face down the world with you
❖ ❖ ❖
#99ccff ou #000099 ; fiche ; liens ; moodboard ; theme
❖ ❖ ❖
nature : De chair et d'histoire mêlées, fable héroïne aux contours glacés. fable : La Reine des Neiges // Gerda. coeur à droite : Lèvres butinées parfois par des bouches sans promesse de lendemain. Célibataire résignée, elle se dit qu’une amoureuse souffrirait de son train de vie. occupation : Sheriff de Fableville.
les minables
| Sujet › Re: Run run lost boy Mer 15 Déc - 16:00 | |
| Le cast de Shadow & Bone prend ses marques on dirait Rebienvenue avec ce nouveau personnage, il est si pipou qu'on a presque pas envie de lui tirer les oreilles à cause de ses mauvaises fréquentations |
| | | Chess Greene arrivée : 23/01/2021 messages : 74
fable : Le chat du Cheshire du Pays des Merveilles coeur à droite : Jamais rien de sérieux, simplement car tu ne connais que ça occupation : Prophète, c'est comme ça que tu préfères être désigné.
les minables
| Sujet › Re: Run run lost boy Mer 15 Déc - 16:38 | |
| Re-rebienvenue ! Pouah ! Il a l'air trop cool ce monsieur ! J'aime vraiment ce que tu en dépeint, et j'ai hâte de lire la suite, car il est passionnant ce perso ! (Toute façon avec toi, je ne me fait pas de soucis ! ) |
| | | Michael Kite arrivée : 15/12/2020 messages : 90
I press my hands against
my chest, wishing I could
somehow be even closer
to him. I hate skin;
I hate bones and bodies.
I want to curl up inside of him
and be carried there forever.
☽ fiche• liens• moodboard☾
nature : Fable ordinaire, pas le plus bandant des héros fictionnel fable : Michael Darling, peter pan, le cadet, le non-désiré, l'abandonné coeur à droite : N’en désir qu’un, se désintéresse de tout autre. occupation : Lustre le bois du bar du Jolly roger, remplie les verres arc-en-ciel, Barman fidèle au poste. Chien de chasse du capitaine lorsqu'il ne fait pas teinter les verres, là ou le crochet pointe il s'y rend..
les minables
| Sujet › Re: Run run lost boy Mer 15 Déc - 19:34 | |
| @Gerda Renfot je vois pas pourquoi tu dis ça ! vraiment Est-ce que ça veut dire que si Gerda lui tombe dessus si il lui fait les puppy eyes il s'en sort ? (laisse moi rêver ! xD) Merci ! ça fait plaisir de revoir notre Sheriff favorite @Chess Greene ouais ouais fait le gentil ! j'ai vu comment t'as cassé du sucre sur le dos de Tancrède dans ton topic de fiche ! Le pauvre lui qui est la gentillesse incarné ! (si si ) (Mais bon je suis faible devant ta cutitude alors je pardonne pour cette fois ) |
| | | Dolly Wood arrivée : 28/10/2020 messages : 438
nature : t'es pas d'ce monde qu'ils disent en mode disque aux deux faces rayées, savent pas qu'elle pourrait répondre littéralement fable : la fée clochette toujours collée aux basques de son peter et l'a jamais aussi bien porté son nom que depuis qu'elle a vu que dans les films c'était l'onomatopée d'une balle entre les deux yeux occupation : domina, mistress, pute à cravache
les minables
| Sujet › Re: Run run lost boy Dim 19 Déc - 21:42 | |
| micheal a bien grandi. j'espère au moins qu'il a toujours son nounours en peluche. hâte de voir ce que tu nous concoctes pour l'histoire. |
| | | Michael Kite arrivée : 15/12/2020 messages : 90
I press my hands against
my chest, wishing I could
somehow be even closer
to him. I hate skin;
I hate bones and bodies.
I want to curl up inside of him
and be carried there forever.
☽ fiche• liens• moodboard☾
nature : Fable ordinaire, pas le plus bandant des héros fictionnel fable : Michael Darling, peter pan, le cadet, le non-désiré, l'abandonné coeur à droite : N’en désir qu’un, se désintéresse de tout autre. occupation : Lustre le bois du bar du Jolly roger, remplie les verres arc-en-ciel, Barman fidèle au poste. Chien de chasse du capitaine lorsqu'il ne fait pas teinter les verres, là ou le crochet pointe il s'y rend..
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| Sujet › Re: Run run lost boy Lun 20 Déc - 18:44 | |
| @Dolly Wood monsieur nounours est resté dans la nurserie prés de la fenêtre qu'il a laissé ouverte Merci J'essaye d'avancer / finir tout ça demain |
| | | Connor Wolf arrivée : 20/10/2020 messages : 1071
here in the forest dark and deep, i offer you eternal sleep.
nature : fable. fable : le grand méchant loup qu'allait graille le chaperon et pierre, l'agneau et les trois cochons. y'a pourtant que les résidus de bile qui tapissent les babines. coeur à droite : entre les cuisses, dégueule les amours décomposés sur le bide rougit et dégonflé. inscrira pas son blase sur un bout de papier, l'avalera en entier. occupation : travailleur du sexe sans frange et sans chewing-gum fraise, gigolo sur les réseaux, l'argent facile qui tombe sous les coups de reins. la promesse d'un amour de passage, l'a la dalle, l'a les crocs.
les minables
| Sujet › Re: Run run lost boy Jeu 23 Déc - 20:47 | |
| tourner la page Validation oh le pauvre canard. tellement mims, tellement cassé, il me rappelle un peu solal dans cette belle âme mise à mal. hâte de voir comment il va évoluer, comment ça va se passer avec le dream team et tout ça. rebienvenue à la zonzon. Y'a pas à dire t'as tout cassé sur ton passage, même les murs, même les pavés, t'as su retourner les rues et les villes. Maintenant que c'est fait et que t'as enfin pu prendre forme, t'as au final pas grand-chose à faire par la suite. Y'a ces petits utilitaires qu'on te cale sous la patte, te faire des liens ou tout simplement directement aller flooder pour te fondre dans la masse, même glisser du côté de la CB qui sait. Si t'es un DC/TC/QC on t'invite à te recenser. En tout cas on te remercie et on espère que tu trouveras en USD un nouveau toit sympa sur lequel tu pourras écrire sans te prendre la tronche, sans avoir de poids sur les épaules.
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