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Toi qui entre ici abandonne toute espérance, les contes te cracheront à la gueule leurs plus belles histoires. bienvenue sur USD. :love:
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 Suffirait de deux milles dollars,

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Cindy-Lou Wu
Cindy-Lou Wu
arrivée : 28/02/2022
messages : 5

nature : N-ième princesse à avoir poser les pieds dans ce nouveau monde, n-ième Fable à roder dans les rues d'Hells Kitchen.
fable : Elle a eu bien des noms, la demoiselle au visage souillé et aux pieds embrassés par le verre. Culcendron, c'était ainsi qu'elle était surnommée par la plus vulgaire de ses deux belles-sœurs. Cendrillon, version plus édulcorée, plus élégante, plus digne de ces Dames dont elle avait tant de fois nettoyer le linge, astiquer les souliers et dresser les assiettes. C‘est que ces trois-là, elles avaient prit un malin plaisir à l'humilier, Cindy-Lou, elle n'est pas prête d'oublier toutes ces nuits passées près du foyer, à dormir dans les cendres d'un feu éteint par ses propres mains, feu qu'elle rallumait à son réveil pour que ces dames ne se caillent pas les miches. C'est qu'elle disait leur avoir pardonner, c'est surtout que l'idée plaisait tant à son si beau et si charmant prince qu'elle ne put faire autrement. C'est que le soir, elle jubile en secret, c'est qu'elle, elle meurt d'envie de les barbouiller de cendre, c'est que si elle s'écoutait, ça ferait belle lurette qu'elle les aurait forcées à défiler pieds-nus le long d'un boulevard de braises ardentes.
coeur à droite : Elle raconte à qui veux bien le croire qu’elle est célibataire et libre comme l’air, que rien ne l’entrave, que son cœur n’a jamais subi ni fissure ni cassure, c’est qui lui arrive même de dire qu’il n’a jamais réellement battu. Les mains plaquées sur ses yeux fermés, c’est le déni qui parle lorsqu’elle balance tout ces bobards, c’est qu’elle essaie de se convaincre que c’est vrai, c’est qu’elle meurt d’envie d’y croire, c’est qu’il ne la mérite pas. Cœur brisé par un prince loin d’être aussi charmant qu’il le lui avait fait croire. Le divorce qui n’a jamais été prononcé, toujours mariée à un type qu’elle ne cesse de détester.
occupation : Pendue au bras d’un parfait inconnu, elle glousse et minaude. A nouveau femme de la haute société, elle sait que cela ne durera que quelques heures. Le corps galbé par une longue robe rouge, la jambe dévoilée par une échancrure à la limite de l’indécence, le visage froid et les yeux luisants de malice, elle parle comme une baronne et sirote un verre de vin au prix plus décadent que sa tenue. Elle se sait au goût de tout le monde et s’en amuse. Escort-girl, à la limite de la croqueuse de diamant, elle se pavane pour des hommes plus riches que bien des princes et repart avec un collier incrusté de pierres précieuses et une poignée de billet volées dans les porte-feuilles de convives qu’elle ne reverra plus. Pickpocket parce que l’adrénaline n’est jamais aussi bonne que dans ces moments-là.
les minables

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MessageSujet › Suffirait de deux milles dollars,   Suffirait de deux milles dollars, EmptyLun 28 Fév - 18:55

Cindy-Lou Wu

tw ;;Le conte traite de misère, d’harcèlement moral et de maltraitance. La fiche, elle, parle de sexualisation, usage de tabacs, de drogues et d’alcools, vols.

Démons et merveilles

identité ;; Cindy-Lou, prénom peu commun pour une femme loin d’être Commune. C’est qu’il sonnerait presque réel, nul ne peine à imaginer un couple de jeune parent se querellant, incapable de décider entre Cindy et Lou. C’est qu’il sonnerait presque familier à l’oreille de bien des polichinelles, y en a qui peine à se souvenir qu’il est celui de cette douce et gentille blonde qui galope après un étrange ermite aux poils verts. Prénom double pour une nana incapable de se décider si elle tient plus de Cindy, gamine immature qui court les rues couvertes de terre et de poussières, ou de Lou, femme fatale qui semble avoir fusionné avec sa robe de soie rouge. Wu, nom de famille découvert lors d’un quiproquo avec un commerçant dont elle a oublié le visage et le nom, nom conservé parce que rien ne la fait autant marrer que l’incompréhension qu’elle peut lire dans les yeux de ses interlocuteurs lorsqu’elle doit se présenter à eux. Ce patronyme, c’est devenu son petit plaisir, cette blague que personne ne comprend et dont elle ne se lasse jamais. Et puis, y a cette rime qui rajoute à son hilarité, Cindy-Lou Wu, ce n’est pas très loin du WooHoo. âge ;; Elle en joue, de cet âge inconnu, répondant toujours par un « Quel âge me donnes-tu ? » Les réponses sont toujours vagues, indécises, parce qu’estimer un âge n’est jamais chose aisé. Vingt-six, c’est le nombre qui revient le plus souvent. Celui qui lui fait gonfler les joues d’indignement, celui qui la vexe, qui l’offense, c’est qu’elle aimerait qu’on lui disent qu’elle fait 5 de moins. conte ;; Elle a eu bien des noms, la demoiselle au visage souillé et aux pieds embrassés par le verre. Culcendron, c'était ainsi qu'elle était surnommée par la plus vulgaire de ses deux belles-sœurs. Cendrillon, version plus édulcorée, plus élégante, plus digne de ces Dames dont elle avait tant de fois nettoyer le linge, astiquer les souliers et dresser les assiettes. C‘est que ces trois-là, elles avaient prit un malin plaisir à l'humilier, Cindy-Lou, elle n'est pas prête d'oublier toutes ces nuits passées près du foyer, à dormir dans les cendres d'un feu éteint par ses propres mains, feu qu'elle rallumait à son réveil pour que ces dames ne se caillent pas les miches. C'est qu'elle disait leur avoir pardonner, c'est surtout que l'idée plaisait tant à son si beau et si charmant prince qu'elle ne put faire autrement. C'est que le soir, elle jubile en secret, c'est qu'elle, elle meurt d'envie de les barbouiller de cendre, c'est que si elle s'écoutait, ça ferait belle lurette qu'elle les aurait forcées à défiler pieds-nus le long d'un boulevard de braises ardentes. métier ;; Pendue au bras d’un parfait inconnu, elle glousse et minaude. A nouveau femme de la haute société, elle sait que cela ne durera que quelques heures. Le corps galbé par une longue robe rouge, la jambe dévoilée par une échancrure à la limite de l’indécence, le visage froid et les yeux luisants de malice, elle parle comme une baronne et sirote un verre de vin au prix plus décadent que sa tenue. Elle se sait au goût de tout le monde et s’en amuse. Escort-girl, à la limite de la croqueuse de diamant, elle se pavane pour des hommes plus riches que bien des princes et repart avec un collier incrusté de pierres précieuses et une poignée de billet volées dans les portefeuilles de convives qu’elle ne reverra plus. Pickpocket, parce que l’adrénaline n’est jamais aussi bonne que dans ces moments-là. orientation sexuelle ;; Hétérosexuelle, elle n’aime et ne se vend qu’à des hommes, tout plus superficiels les uns que les autres. Plus ils sont raffinés, mieux c’est. C’est qu’elle a prit goût au luxe et à l’opulence, c’est qu’elle ne se voit pas se rouler dans la fange avec le premier clodo qui passe, c’est qu’elle est devenue bien plus superficielle encore que les hommes qui la loue. statut civil ;; Elle raconte à qui veux bien le croire qu’elle est célibataire et libre comme l’air, que rien ne l’entrave, que son cœur n’a jamais subi ni fissure ni cassure, c’est qui lui arrive même de dire qu’il n’a jamais réellement battu. Les mains plaquées sur ses yeux fermés, c’est le déni qui parle lorsqu’elle balance tout ces bobards, c’est qu’elle essaie de se convaincre que c’est vrai, c’est qu’elle meurt d’envie d’y croire, c’est qu’il ne la mérite pas. Cœur brisé par un prince loin d’être aussi charmant qu’il le lui avait fait croire. Le divorce qui n’a jamais été prononcé, toujours mariée à un type qu’elle ne cesse de détester. statut monétaire ;; Aisée, encore loin de retrouver cette vie de château qui ne cesse de lui manquer mais bien assez loin du foyer, du tas de cendre dans lequel elle a passé bien des nuits. C'est que la souillon devenue princesse a finit par tomber accro de ce luxe et de cette oisiveté, c'est qu'elle a été tellement effrayé par l'idée de tout perdre qu'elle a tout fait pour ne rien perdre, quitte à  vendre sa dignité pour avoir une paire Prada à chausser, quitte à offrir ses charmes pour pouvoir s'enduire le cou de quelques goutes de Chanel n°5. traits de caractère ;; Un temps femme fatale, toute de rouge parée, la séduction qui déborde par tout les pores de sa peau. Le visage clos et l’air distante, son ricanement se fait doux lorsqu’il percute les tympans de ses clients. Le langage sophistiqué, les mots choisit avec soin, et le ton sérieux, elle n’a jamais eut l’air aussi noble que dans ces instants. Un temps gamine hyperactive et susceptible, aux petites couettes qui rebondissent dès qu’elle quitte une soirée au pas de course, talons dans une main, l’autre perdue dans celle d’un ami déjà plein, le soutien-gorge plein à craquer de billets verts et le rire qui transperce la nuit. Impulsive, le cerveau qui grille dès qu’elle reçoit sa paie, incapable de réfléchir à ses actes et à leurs conséquences, à quoi bon ? La malice qui étire ses lèves alors que ses doigts ébouriffent les cheveux de ses compagnons avant d’agripper un verre de tequila qu’elle engloutit cul sec, le cinquième de la soirée au moins. Demoiselle bourrée de vice à plein temps, assaillie par trois des sept péchés capitaux, l’avarice, l’orgueil et la colère font mouvoir son corps dans des pulsions incontrôlées. C’est pourtant de la luxure qu’elle fait naître dans les cœurs de ses clients qui ont interdictions de la toucher, c’est pourtant de l’envie qu’elle voit dans les regards de ces femmes dont elle prend la place. Toujours un truc à la bouche, mégot de cigarette, joint fait à la vas vite, goulot de bouteille et sucettes à la cerise s'enchainent au grès de ses envies. maintheme ;; Guaranteed to blow your mind moodboard ;; Anytime ! groupe ;; Les enchantés, le cœur brisé mais léger, l’impression que dans ce nouveau monde elle ne pourra que s’upgrader. Elles semblent si loin, la peine et la misère, balayées d’un rejet de cheveux en arrière. Cindy-Lou flotte en permanence sur un petit nuage fait d’or et de tequila, elle est si loin de rêver au replay, enfin débarrassée de ses plaies, pardon belles-sœurs et marâtre, pourquoi ressasser le passé maintenant qu’elle peut le noyer sous un flot de tequila ? Le cœur léger et le bagage rempli, il se rit de ceux qui rêvent de conquérir Paris, pourquoi vouloir une ville alors qu’elle a les bras et les porte-feuilles des puissants ? L’après-midi passée le cul visé sur son balcon, ça se dore la pilule sur un transat plus cher que le salaire de Madame la Maire. La nuit occupée à se déhancher sur ce même balcon, ça rit, ça chante, ça danse, ça se bourre l’organisme de substances prohibées et lorsque ça a le pif un peu trop enfariné, ça jette ce même transat par dessus bord. C’est dans ce monde dépourvu de « il était une fois » qu’elle vit un véritable conte de fée, un conte de fée sans marraine, ni fée et pourtant empli de poudre magique. L’Happy-end loin d’être garantie mais ce n’est pas comme si elle y pensait, trop impulsive pour penser au danger, trop désinvolte pour prendre la mort au sérieux. Nulle besoin d’enchantement pour être enchantée.

capacités ;; L’a pas la chance de faire parti de ces Fables là, de ces fées et sorcières aux doigts imbibés de poussières et de magie, de ces bêtes civilisées aux sens si aiguisés, de ces ogres et géants à la force surdimensionnée et aux muscles saillants, de ces dragons aux souffles brûlants et aux griffes acérées. Cendrillon, elle n’a toujours été qu’une souillon, qu’une traîne-savate à peine bonne à faire cuire des lentilles et à lustrer des escaliers. Elles en avaient perdu du temps, à lui dire qu’elle ne ferait jamais rien de sa vie, qu’elle n’aurait ni beau mariage ni beaux enfants, elle en avait perdu du temps, à les croire aveuglement. Mais Cindy-Lou, elle avait réussi à s’en trouver un de talent, et ça s’étalait sur une étagère ou deux, et ça dominait une bonne partie de sa salle de bain, et ça reposait sur une myriade de tête en plastique, ça prenait la forme d’une centaine de perruque et de rajout multicolore. La belle n’a jamais la même coupe, jamais le même nom, jamais la même adresse, ce n’est pas pour rien qu’elle est toujours au goût de ses clients.
constat sur sa nouvelle vie ;; s'adresse uniquement aux fables, à supprimer si inutilisé. Quelques mots sur cette nouvelle vie imposée à New York depuis trois ans.


Le livre et sa couverture

pseudo/prénom/pronom ;; Roro, elle. âge ;; 21 balais, ça fait un placard bien fourni. comment as-tu découvert usd ? ;;  :pf:  quelque chose à nous dire ? ;; J’ai été touché par l’épidémie des multicomptes ! C’que c’est contagieux cette chose ! avatar ;; Xu Jiaqi crédit(s) ;; Avatar par ooolympia, j’n’ai pas trouvé de noms pour les icons, déso  :snif:




Titre de ton histoire

à lire ;; Prenez garde à ne pas modifier les contes d'origines, aucune modification/rajout conséquent(e) ne sera accepté(e) bien que vous puissiez explorer les sentiments/pensées/les détails de votre personnage à ce moment comme vous le voulez, veillez à ne rien changer de l'histoire. Si les royaumes peuvent permettre un entrecroisement des personnages, iels ont tous.tes suivis de base une ligne directrice concrète/une trame principale (ex :  (extrêmement rapide résumé) le petit chaperon rouge qui va chez sa mère-grand, se fait dévorer par le loup puis libérer par le bûcheron) et c'est seulement après celle-ci que les personnages, dans les royaumes, peuvent se rencontrer, pouvant permettre d'étranges situations (ex : le joueur de flûte d'Hamelin qui fait la connaissance de la reine de coeur dans sa cour) !

L'heure est à l'histoire, et c'est aussi votre lieu d'expression. Sous forme de poésie, sous forme de paragraphe, sous forme d'un rp, sous forme de chapitres : toutes les formes sont possibles, tous les chemins vous sont ouverts et nous vous laissons vous approprier cette partie comme bon vous semble. Vous pouvez si vous le souhaitez rajouter de la musique et vice-versa. Aucun nombre de lignes n'est demandé.



Dernière édition par Cindy-Lou Wu le Mer 16 Mar - 12:54, édité 1 fois
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Hanno Wagner
Hanno Wagner
arrivée : 04/02/2022
messages : 35

Suffirait de deux milles dollars, Lg50


nature : fable.
fable : jeannot et margot, hansel et gretel, honey boo-boo sur les planches de la maison en pain d'épices.
coeur à droite : oopsie daisy.
occupation : mcdo fendard mal noté sur google.
les minables

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MessageSujet › Re: Suffirait de deux milles dollars,   Suffirait de deux milles dollars, EmptyLun 28 Fév - 21:15

mAIS PARDON CENDRILLON J'ÉTAIS PAS PRÊTE ???? :wow: :emo:
OK OK OK OK
J'AI BESOIN D'AIR
TU SLAY ENCORE TT

CE DÉBUT DE FICHE ??? MAIS ??? JUSTE CE PSEUDO CHU TROP FAN ??? :pikaouin: :wa:
mon coeur dorénavant ne bat plus que pour cindy-lou. :fall: :love:
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Charlie Marnetto
Charlie Marnetto
arrivée : 03/01/2022
messages : 93

Suffirait de deux milles dollars, Tumblr_n3w0mmjzmV1txilm9o6_250
avant même que vous ne descendiez de votre voiture, je l’avais repérée, j’avais entendu le bruit du moteur ; j’ai même reconnu la marque ; une jaguar, je la reconnais même quand c’est seulement l’idée d’une jaguar qui traverse la tête de quelqu’un.

nature : fable
fable : les aventures de pinocchio (pinocchio)
coeur à droite : tout gris, a pas tiré son coup depuis un bail le pantin
occupation : employé en centre d'appel téléphonique, prêt à vous faire gober des couleuvres
les minables

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MessageSujet › Re: Suffirait de deux milles dollars,   Suffirait de deux milles dollars, EmptyMar 1 Mar - 20:27

mais jpp
cindy-lou
je suis fan :snif: :snif: :snif: :snif: :snif:
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Cindy-Lou Wu
Cindy-Lou Wu
arrivée : 28/02/2022
messages : 5

nature : N-ième princesse à avoir poser les pieds dans ce nouveau monde, n-ième Fable à roder dans les rues d'Hells Kitchen.
fable : Elle a eu bien des noms, la demoiselle au visage souillé et aux pieds embrassés par le verre. Culcendron, c'était ainsi qu'elle était surnommée par la plus vulgaire de ses deux belles-sœurs. Cendrillon, version plus édulcorée, plus élégante, plus digne de ces Dames dont elle avait tant de fois nettoyer le linge, astiquer les souliers et dresser les assiettes. C‘est que ces trois-là, elles avaient prit un malin plaisir à l'humilier, Cindy-Lou, elle n'est pas prête d'oublier toutes ces nuits passées près du foyer, à dormir dans les cendres d'un feu éteint par ses propres mains, feu qu'elle rallumait à son réveil pour que ces dames ne se caillent pas les miches. C'est qu'elle disait leur avoir pardonner, c'est surtout que l'idée plaisait tant à son si beau et si charmant prince qu'elle ne put faire autrement. C'est que le soir, elle jubile en secret, c'est qu'elle, elle meurt d'envie de les barbouiller de cendre, c'est que si elle s'écoutait, ça ferait belle lurette qu'elle les aurait forcées à défiler pieds-nus le long d'un boulevard de braises ardentes.
coeur à droite : Elle raconte à qui veux bien le croire qu’elle est célibataire et libre comme l’air, que rien ne l’entrave, que son cœur n’a jamais subi ni fissure ni cassure, c’est qui lui arrive même de dire qu’il n’a jamais réellement battu. Les mains plaquées sur ses yeux fermés, c’est le déni qui parle lorsqu’elle balance tout ces bobards, c’est qu’elle essaie de se convaincre que c’est vrai, c’est qu’elle meurt d’envie d’y croire, c’est qu’il ne la mérite pas. Cœur brisé par un prince loin d’être aussi charmant qu’il le lui avait fait croire. Le divorce qui n’a jamais été prononcé, toujours mariée à un type qu’elle ne cesse de détester.
occupation : Pendue au bras d’un parfait inconnu, elle glousse et minaude. A nouveau femme de la haute société, elle sait que cela ne durera que quelques heures. Le corps galbé par une longue robe rouge, la jambe dévoilée par une échancrure à la limite de l’indécence, le visage froid et les yeux luisants de malice, elle parle comme une baronne et sirote un verre de vin au prix plus décadent que sa tenue. Elle se sait au goût de tout le monde et s’en amuse. Escort-girl, à la limite de la croqueuse de diamant, elle se pavane pour des hommes plus riches que bien des princes et repart avec un collier incrusté de pierres précieuses et une poignée de billet volées dans les porte-feuilles de convives qu’elle ne reverra plus. Pickpocket parce que l’adrénaline n’est jamais aussi bonne que dans ces moments-là.
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MessageSujet › Re: Suffirait de deux milles dollars,   Suffirait de deux milles dollars, EmptyMer 2 Mar - 18:36

Merciiii @Hanno Wagner @Charlie Marnetto ! Grave heureuse que la petite vous plaise, vraiment :mih:
L'essayer c'est l'adopter, j'vous jure !
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Gerda Renfot
Gerda Renfot
arrivée : 01/11/2020
messages : 283

Suffirait de deux milles dollars, D063cc465c8c1d6453f920cbf7c8dd160ea9571f

❖ ❖ ❖

Will you breathe through me?
And calm the storm inside
Just breathe through me
We'll keep the fires alight
I'll face down the world with you


❖ ❖ ❖

#99ccff ou #000099 ; fiche ; liens ; moodboard ; theme

❖ ❖ ❖


nature : De chair et d'histoire mêlées, fable héroïne aux contours glacés.
fable : La Reine des Neiges // Gerda.
coeur à droite : Lèvres butinées parfois par des bouches sans promesse de lendemain. Célibataire résignée, elle se dit qu’une amoureuse souffrirait de son train de vie.
occupation : Sheriff de Fableville.
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MessageSujet › Re: Suffirait de deux milles dollars,   Suffirait de deux milles dollars, EmptyJeu 3 Mar - 12:41

Mais c'est la foire aux DC incroyables ici :hein:
Elle est magnifique ta Cindy-Lou, c'est intéressant de la voir tomber un peu dans les mêmes travers que sa marâtre et ses belles-sœurs :perv: (et j'aime la ref de la danse pieds-nus sur des braises, Blanche Neige enters the chat)(ceci dit les belles-sœurs prennent cher dans la version des frères Grimm :shook: )
Bon courage pour la suite :love:
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Eshaan Das
Eshaan Das
arrivée : 20/01/2022
messages : 63

Suffirait de deux milles dollars, OkxcvJRX_o Suffirait de deux milles dollars, Dpm1r9bX_o Suffirait de deux milles dollars, NDNfQet7_o


nature : fable
fable : canidé pitoyable du livre de la jungle (ô ma rage), tabaqui d'une page tournée sans heure de gloire.
occupation : pour faire propre sur la papier, agent de sécurité (jeu de mains, jeu de vilains) — miroiter des merveilles aux reflets trompeurs, mais regarde ! mon fantasme demeure (rabatteur).
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MessageSujet › Re: Suffirait de deux milles dollars,   Suffirait de deux milles dollars, EmptyLun 7 Mar - 10:41

non mais je m'attendais à une BEBOM
mais là c'est plus que des gros fracas et de l'explosion ????

ça fait tout péter, de la bouille aux mots, des tes idées à son potentiel.... je suis pas certaine qu'on soit ready sur le forum mais cette cendrillon 2.0 elle m'en met plein les mirettes. à deux doigts de croire que j'ai un bout de pantoufle de verre tout scintillant dans l'œil ! je suis amoureuse de ses paradoxes, du feu de sa colère... j'suis jalouse de sa collection de perruques tho !
trop hâte de voir ce beau diable en jeu, et bienvenue de nouveau à la casa :coeur: :coeur:
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Cindy-Lou Wu
Cindy-Lou Wu
arrivée : 28/02/2022
messages : 5

nature : N-ième princesse à avoir poser les pieds dans ce nouveau monde, n-ième Fable à roder dans les rues d'Hells Kitchen.
fable : Elle a eu bien des noms, la demoiselle au visage souillé et aux pieds embrassés par le verre. Culcendron, c'était ainsi qu'elle était surnommée par la plus vulgaire de ses deux belles-sœurs. Cendrillon, version plus édulcorée, plus élégante, plus digne de ces Dames dont elle avait tant de fois nettoyer le linge, astiquer les souliers et dresser les assiettes. C‘est que ces trois-là, elles avaient prit un malin plaisir à l'humilier, Cindy-Lou, elle n'est pas prête d'oublier toutes ces nuits passées près du foyer, à dormir dans les cendres d'un feu éteint par ses propres mains, feu qu'elle rallumait à son réveil pour que ces dames ne se caillent pas les miches. C'est qu'elle disait leur avoir pardonner, c'est surtout que l'idée plaisait tant à son si beau et si charmant prince qu'elle ne put faire autrement. C'est que le soir, elle jubile en secret, c'est qu'elle, elle meurt d'envie de les barbouiller de cendre, c'est que si elle s'écoutait, ça ferait belle lurette qu'elle les aurait forcées à défiler pieds-nus le long d'un boulevard de braises ardentes.
coeur à droite : Elle raconte à qui veux bien le croire qu’elle est célibataire et libre comme l’air, que rien ne l’entrave, que son cœur n’a jamais subi ni fissure ni cassure, c’est qui lui arrive même de dire qu’il n’a jamais réellement battu. Les mains plaquées sur ses yeux fermés, c’est le déni qui parle lorsqu’elle balance tout ces bobards, c’est qu’elle essaie de se convaincre que c’est vrai, c’est qu’elle meurt d’envie d’y croire, c’est qu’il ne la mérite pas. Cœur brisé par un prince loin d’être aussi charmant qu’il le lui avait fait croire. Le divorce qui n’a jamais été prononcé, toujours mariée à un type qu’elle ne cesse de détester.
occupation : Pendue au bras d’un parfait inconnu, elle glousse et minaude. A nouveau femme de la haute société, elle sait que cela ne durera que quelques heures. Le corps galbé par une longue robe rouge, la jambe dévoilée par une échancrure à la limite de l’indécence, le visage froid et les yeux luisants de malice, elle parle comme une baronne et sirote un verre de vin au prix plus décadent que sa tenue. Elle se sait au goût de tout le monde et s’en amuse. Escort-girl, à la limite de la croqueuse de diamant, elle se pavane pour des hommes plus riches que bien des princes et repart avec un collier incrusté de pierres précieuses et une poignée de billet volées dans les porte-feuilles de convives qu’elle ne reverra plus. Pickpocket parce que l’adrénaline n’est jamais aussi bonne que dans ces moments-là.
les minables

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MessageSujet › Re: Suffirait de deux milles dollars,   Suffirait de deux milles dollars, EmptyLun 7 Mar - 20:01

Merci à vous deux !! :mih: :koeur:

@Gerda Renfot Grave heureuse que ça te plaise ! Embarassed C'est vrai que c'est marrant de voir qu'elle retombe un peu dans les mêmes travers comme tu dis, j'avais bien envie de jouer un peu sur ça et briser le côté un peu trop parfait de la princesse :mims: Clairement, elles prennent si cher dans la version de Grimm que ça en est un peu jouissif :mdr: Maiiiis il n'y a que la version de Perrault qui a la bonne fée et j'ai du faire un choix :muh:

@Eshaan Das Olala j'espère que la suite vous plaira tout autant Embarassed
Bah c'est qu'il va falloir être ready soon les gars parce que maintenant qu'elle est sur le train de lancement c'est trop tard pour faire marche arrière :wat: J'suis sûre que si tu lui donne un p'tit verre de vin ou une p'tite bouteille de tequila elle te prêtera une de ses perruques avec GRAND PLAISIR ! C'est la mifa ici, on partage tout :gne:
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Eloy White
Eloy White
arrivée : 22/01/2022
messages : 52

[ le tic tac qui s'disloque ]
Suffirait de deux milles dollars, 5917d056fc0cd6406c7fb5c769b4ef4b2019b1bc Suffirait de deux milles dollars, 47aa56a430a854f2be2d73d5b9b11212a58ede0d Suffirait de deux milles dollars, B93963b02d7292a17ba5eeea6767f0c242e2d451
[ la caboche que l'on cogne ]


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SOUNDTRACK. ⇽
AESTHETIC. ⇽

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carmeneshaanplace libre


nature : [ fable ] bestiole victorienne qui décampe plus vite que son ombre.
fable : [ alice in wonderland ] le lapin toujours en retard.
coeur à droite : [ solitaire ] qui se terre dans les relations éphémères.
occupation : [ homme de main ] nouveau monde, nouveau tyran à servir.
les minables

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MessageSujet › Re: Suffirait de deux milles dollars,   Suffirait de deux milles dollars, EmptyMar 15 Mar - 11:53

Suis-je à la traine ? Oui.
Est-ce que je suis sous le charme ? Oui.

C'est fou, pourtant je suis pas fan du conte de base mais sous ta plume je suis transporté par cette version de Cendrillon. :koeur:
GG pour ce DC, hâte de te voir traîner à Hell Kitchen (et si tu veux que je te foute un lapin dans les pâtes :star: )
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Cindy-Lou Wu
Cindy-Lou Wu
arrivée : 28/02/2022
messages : 5

nature : N-ième princesse à avoir poser les pieds dans ce nouveau monde, n-ième Fable à roder dans les rues d'Hells Kitchen.
fable : Elle a eu bien des noms, la demoiselle au visage souillé et aux pieds embrassés par le verre. Culcendron, c'était ainsi qu'elle était surnommée par la plus vulgaire de ses deux belles-sœurs. Cendrillon, version plus édulcorée, plus élégante, plus digne de ces Dames dont elle avait tant de fois nettoyer le linge, astiquer les souliers et dresser les assiettes. C‘est que ces trois-là, elles avaient prit un malin plaisir à l'humilier, Cindy-Lou, elle n'est pas prête d'oublier toutes ces nuits passées près du foyer, à dormir dans les cendres d'un feu éteint par ses propres mains, feu qu'elle rallumait à son réveil pour que ces dames ne se caillent pas les miches. C'est qu'elle disait leur avoir pardonner, c'est surtout que l'idée plaisait tant à son si beau et si charmant prince qu'elle ne put faire autrement. C'est que le soir, elle jubile en secret, c'est qu'elle, elle meurt d'envie de les barbouiller de cendre, c'est que si elle s'écoutait, ça ferait belle lurette qu'elle les aurait forcées à défiler pieds-nus le long d'un boulevard de braises ardentes.
coeur à droite : Elle raconte à qui veux bien le croire qu’elle est célibataire et libre comme l’air, que rien ne l’entrave, que son cœur n’a jamais subi ni fissure ni cassure, c’est qui lui arrive même de dire qu’il n’a jamais réellement battu. Les mains plaquées sur ses yeux fermés, c’est le déni qui parle lorsqu’elle balance tout ces bobards, c’est qu’elle essaie de se convaincre que c’est vrai, c’est qu’elle meurt d’envie d’y croire, c’est qu’il ne la mérite pas. Cœur brisé par un prince loin d’être aussi charmant qu’il le lui avait fait croire. Le divorce qui n’a jamais été prononcé, toujours mariée à un type qu’elle ne cesse de détester.
occupation : Pendue au bras d’un parfait inconnu, elle glousse et minaude. A nouveau femme de la haute société, elle sait que cela ne durera que quelques heures. Le corps galbé par une longue robe rouge, la jambe dévoilée par une échancrure à la limite de l’indécence, le visage froid et les yeux luisants de malice, elle parle comme une baronne et sirote un verre de vin au prix plus décadent que sa tenue. Elle se sait au goût de tout le monde et s’en amuse. Escort-girl, à la limite de la croqueuse de diamant, elle se pavane pour des hommes plus riches que bien des princes et repart avec un collier incrusté de pierres précieuses et une poignée de billet volées dans les porte-feuilles de convives qu’elle ne reverra plus. Pickpocket parce que l’adrénaline n’est jamais aussi bonne que dans ces moments-là.
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MessageSujet › Re: Suffirait de deux milles dollars,   Suffirait de deux milles dollars, EmptyLun 21 Mar - 16:01

Merciii @Eloy White :tancrede:
Sous le charme ? Pourtant, Cendrillon n'est pas une sorcière, j'vois pas comment elle aurait pu t'envouter :perv: J'serais ravie d'avoir un lapin dans les pattes ceci dit :bg:

Désolée, j'suis un peu beaucoup en retard sur la fiche, pire qu'un lapin blanc !
J'vais me bouger les miches pour la finir dans la semaine :mims:
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Jack Spriggins
Jack Spriggins
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mais il y en a toujours un derrière toi, pour qui tu représentes la misère de la nature.
tu l'as échappé belle mon cul.


nature : fable.
fable : l'échange pas bien honnête sur le bord d'une route terreuse, la vache contre le haricot. puis y'a eu la pousse, puis y'a eu la bouffe, puis y'a eu les caresses sur les nuages, puis le casse-gueule signé de sa survie sans grandes pompes. jack et le haricot magique, qui se la joue de la main verte.
coeur à droite : coup dur.
occupation : bosse pour les espaces verts depuis qu'il a posé les pieds à hell's kitchen. à côté l'a été assez futfut pour ramener des plants magiques qu'il fait pousser sans retenue dans son sous-sol, vieille baraque qu'il retape sur fond de musiques des années 2000, fait son biz avec une sorcière pour faire des charmes à refiler à ceux qu'ont pas de bif.
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MessageSujet › Re: Suffirait de deux milles dollars,   Suffirait de deux milles dollars, EmptyLun 21 Mar - 16:10

aucun souci !! irl avant tout, même si trop hâte de voir cindy dans le game. :gni: :love:
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Uma Deadman
Uma Deadman
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nature : fable
fable : bourreau et pas des coeurs, la princesse aux lys rouges qu'on a appelée audovère comme si c'était un prénom qui existait
occupation : fleuriste allergique pour tombes tristes elle sourit pas vraiment et rend pas la monnaie
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MessageSujet › Re: Suffirait de deux milles dollars,   Suffirait de deux milles dollars, EmptyJeu 31 Mar - 14:11

j'arrive après la guerre mais PARDON ???????
j'étais si peu préparée je ?? ta version de cendrillon est incroyable. le fc, le PSEUDO (genius), le métier. tout de a à z genre wow, faut y aller mollo un peu quand même. je suis méga fan de cette upgrade fatal female vers. :ui: :ui: :ui: :ui:
ptet dolly pourrait la demander en mariage sur un malentendu genre trop d'émotions d'un coup en la croisant.
SUR CE rebienvenue chez toi wsh. :bg:
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MessageSujet › Re: Suffirait de deux milles dollars,   Suffirait de deux milles dollars, Empty

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